Photographe à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie, puis de Normandie, depuis 2005.
- enquête thématique régionale, architecture rurale du Parc naturel régional du Perche
- (c) Région Normandie - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aires d'étudesParc naturel régional du Perche
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Adresse
- Commune : Longny-au-Perche
Contexte de l'étude
L´inventaire topographique du patrimoine architectural de la commune déléguée de Longny-au-Perche, rattachée depuis 2016 à la commune nouvelle de Longny-les-Villages, a été réalisé en 2021-2022. Cette étude a pour finalité d´identifier, de localiser et de documenter de la manière la plus exhaustive le patrimoine bâti et d'en présenter un état des lieux raisonné. Les limites chronologiques sont fixées entre l´an 400 après J. C., et les années 1970. Ce cadre exclut le domaine de la fouille archéologique mais n´écarte pas des formes d´architecture en élévation exceptionnelles, comme, par exemple, les mégalithes ou les œuvres originales d´architectes contemporains. Par ailleurs, l´inventaire ne rend compte du patrimoine ethnologique ou du patrimoine naturel que dans la mesure où il donne des renseignements sur le bâti. Le présent inventaire a porté sur l'ensemble des édifices bâtis avant 1950. Les dossiers qui suivent sont classés du général ou thématique (dossiers collectifs), au particulier. Les édifices uniques ou au contraire représentatifs, à valeur patrimoniale intrinsèque et revêtant un intérêt à l'échelon communal, sont traités dans un dossier individuel. La restitution des données découle de la méthode d'analyse. A chaque élément sélectionné correspond un dossier. Cependant, pour appréhender les familles d'édifices représentés en grand nombre (fermes, maisons), il a été procédé à une sélection raisonnée d'unités à étudier, les caractères communs à chaque famille étant restitués dans le dossier collectif.
Parmi les 629 éléments bâtis recensés (toutes catégories confondues), 52 ont été sélectionnés (soit 8 %) et font l’objet de dossiers d’étude. Vingt dossiers d'ensemble, dont onze dossiers de rues, un sur la place de l’Hôtel de Ville et quatre écarts permettent de mieux appréhender ces regroupements. Deux dossiers collectifs relatifs d’une part, aux maisons et aux hôtels particuliers du bourg et du faubourg de Vaugelé et d’autre part, aux maisons et fermes en milieu rural, et un dossier thématique sur le patrimoine industriel livrent des synthèses sur ces familles d’édifices. 1 173 illustrations, dont 325 clichés professionnels, et 83 références documentaires, dont 63 cotes d’archives, documentent les dossiers.
L’étude s’inscrit à Longny dans une démarche de valorisation et de préservation du patrimoine architectural entreprise par la commune depuis l’obtention du label Petites cités de caractères® en 2017 et la création d’un Site Patrimonial Remarquable (SPR) en 2022. Outil d’aide à la décision, l’inventaire du patrimoine bâti nourrit les réflexions en termes d’urbanisme et d’aménagement paysager.
Historique
Le nom de la commune aurait une origine gallo-romaine, dérivé du nom latin « Loconius ». Mis à part la découverte fortuite en 1931 de 15 haches de l’âge du Bronze par un bucheron au Val du Tellier (à l’extrémité nord-est du territoire communal), aucun vestige archéologique ne vient attester d’une occupation humaine avant l’époque médiévale. Située à la confluence de plusieurs vallées (Robioche, Jambée) et vallon (Vaugelé), ainsi qu’à l’intersection de deux axes routiers fréquentés (est-ouest : Paris vers la Bretagne ; sud-nord : du Perche vers la Normandie), l’agglomération de Longny a très certainement connue une occupation continue durant tout le haut Moyen-Âge. Le nom de la paroisse apparaît sous plusieurs toponymes à partir du 12e siècle dans les cartulaires des abbayes du secteur : « Loigniacum », « Loignetum », « Loigniai ». Dès cette époque, Longny dispose d’une forteresse et d’une église paroissiale dédiée à saint Martin et qui dépend de l’abbaye de Saint-Jean-en-Vallée de Chartres. Longny ne fait pas partie du comté du Perche mais relève de la châtellenie épiscopale de Pontguoin et du baillage de Chartres. Situé en bordure de l’évêché, Longny est confié au début de l’époque féodale par le comte de Chartres à la garde de l’évêque de Chartres qui fait construire une tour au milieu d’un marécage. La forteresse se développe ou est reconstruite au 12e siècle comme l’indiquent les vestiges contemporains conservés au château, à savoir la tour Mahé et une partie du mur d’enceinte dont l’épaisseur atteint les 2,30 mètres. L’enceinte, entourée de douves en eau et accessible par un pont-levis, comprend alors neuf tours et demi-tours et donne accès à un donjon baigné par les eaux d’un étang. Les seigneurs de Longny sont assez bien connus à partir du 13e siècle avec notamment Girard de Boissy-Maugis considéré comme le premier seigneur dès 1204. Dans son article sur les seigneurs de Longny-au-Perche aux XIe et XIIe siècles, Jean-Marc Baché livre le fruit de ses recherches sur l’origine seigneuriale de Longny. C’est la famille Boel, dont les membres étaient officier porte-étendard de l’évêque de Chartres, qui possédait Longny à cette époque, de Foucher, à la fin du 10e siècle, à Girard Boel, vers 1130.
Vieux château de Longny (tour Mahé et corps de bâtiment est), vue générale depuis le nord-est.
La seigneurie de Longny devient une baronnie dès la fin du 15e siècle. Durant la guerre de Cent Ans, Longny est occupé par les anglais qui conservent sa forteresse, jugée suffisamment « forte » pour offrir une résistance sérieuse, contrairement aux châteaux voisins de Rémalard et de Tourouvre alors détruits. Les Français reprennent Longny en 1449 et la seigneurie est finalement rendue aux héritiers légitimes de la famille de Longny, à savoir Françoise Odart, qui la transmet par mariage aux Châteaubriand. En 1482, René de Châteaubriand passe un marché avec Jean Delagier, maçon à Bellou, près de Rémalard (Orne), pour réparer le château de Longny désaffecté depuis le siège de 1449. Au 3e quart du 17e siècle, Barbe de Servien, baronne de Longny, fait transformer la forteresse en une résidence. Elle décide ainsi de supprimer l'ancien donjon, tout en conservant son emplacement devenant un îlot. Elle fait construire son nouveau château contre les murs de la partie nord de l'enceinte et fait également aménager, au nord-est du domaine, un jardin à la française. Au 18e siècle, Pierre Gagnat, puis son fils Alexandre-Louis Gagnat, se succèdent à la tête de la baronnie de Longny. Ils font construire de vastes communs à l'emplacement de l'ancien donjon et prolonger les ailes en retour d'équerre du château par des bâtiments de plain-pied. Le domaine passe en 1764 entre les mains d’André Gabriel Subtil, seigneur de Boisemont, qui fait notamment reconstruire les halles en 1774.
Vestiges du haut-fourneau de Rainville.Maison de maître des forges de Beaumont, vue générale depuis l'ouest.
Durant l’Ancien Régime, les seigneurs de Longny font prospérer le domaine et l’agrandissent. Ils y implantent de nombreuses métairies (Optain, la Barre, la Givardière, etc.) et y développent une proto-industrie du métal : haut-fourneau de Rainville, affinerie de Beaumont, fenderie, grosse forge de la Poêlerie et tréfilerie de Brochard. De petites seigneuries indépendantes, pour certaines rattachées tardivement à la baronnie, occupent le territoire paroissial tels que le Colombier, la Bretèche, la Linardière, la Heslière, Beauvais et le Grand Verdereau.
Église paroissiale Saint-Martin, vue générale depuis le nord.Chapelle Notre-Dame de Pitié et cimetière paroissial, vue générale depuis le sud-ouest.
Le bourg de Longny s’est développé après la guerre de Cent Ans, autour du château et de l’église paroissiale Saint-Martin, reconstruite au 4e quart du 15e siècle et au 16e siècle. Il est supposé que Longny, qui comptait seulement 284 paroissiens en 1272 (pouillé du diocèse de Chartres), s’est agrandi après le conflit franco-normand, au détriment de Marchainville, ancienne cité populeuse médiévale qui perd alors de son influence. Érigée au milieu du 16e siècle et surplombant le bourg depuis le sud-ouest, la chapelle Notre-Dame de Pitié constitue un témoin exceptionnel de l’architecture religieuse de la Renaissance dans le Perche. Nombreuses sont les maisons et hôtels particuliers construits aux 16e et 17e siècles pour des marchands et des notables (notaire, huissier). Des exemples significatifs se situent aux n°1-3 rue Gaston Gibory, 17 rue Gaston Gibory, 34 rue de Chartres et 15 rue de l’Église. Un hôtel-Dieu est attesté dès le 14e siècle dont l’emplacement exact n’est pas clairement identifié, possiblement rue de l’Abbé Brionne. Sa chapelle, dédiée à saint Hubert, a été détruite au 1er quart du 19e siècle. Entretenant la confusion, une autre chapelle, érigée sous le même vocable au 15e ou 16e siècle, se trouve à proximité, en retrait de la rue de l’Église, mais ne correspond pas à la description qu’en fait Louis André dans son mémoire de l’hôtel-Dieu de Longny rédigé en 1763. Un prieuré de bénédictines est fondé à Longny en 1633 et s’implante au nord-ouest de la place du Marché, actuellement place de l’Hôtel de Ville. Fermé sur ordre du roi en 1746, ses bâtiments sont en partie détruits en 1773-1774, suite au percement de la rue de Paris, actuellement rue du Général de Gaulle, dont le tracé coïncide avec l’ancien enclos prieural. La chapelle étant détruite, seule une partie du logis prieural subsiste, dont la construction pourrait remonter à la 2e moitié du 16e siècle.
Nouveau château Ludre, vue générale depuis l'ouest.
A la veille de la Révolution et au 19e siècle, les Gontaut-Biron, devenus propriétaires du domaine de Longny, décident de le vendre par lots dans les années 1850. Une partie du château, reconstruite au 3e quart du 19e siècle par son propriétaire, Marius Bianchi, est transmise à son gendre, le marquis de Ludre. Ce dernier décide d'édifier une nouvelle demeure en lieu et place du "nouveau château" de son beau-père. Il fait appel à l'architecte Émile Boursier pour dresser les plans de cette construction érigée entre 1905 et 1907.
École de garçons (2, route de Bizou), vue générale depuis sud.
Au 19e siècle, le bourg continue son développement, en lien avec la proto-industrie métallurgique, mais également l’artisanat du bois (marchand, sabotier, menuisier, charpentier, scieur de long, etc.) et du tissage du chanvre (fileuse, tisserand). Nombreuses sont les maisons construites ou dont les façades sont modifiées à cette époque. Des édifices publics sont également érigés : la mairie, en surélévation des halles dans les années 1830, l’école de garçons en 1883 tout au sud et l’école de filles proche de l’église, occupant une ancienne auberge de 1863 convertie en 1903.
Le pays de Longny est un territoire d’élevage, de cultures et de forêts, ce qui a conditionné l’activité économique du bourg. Dès le 15e siècle, les foires et marchés de Longny sont attestés et jouissent d’une excellente réputation dans tout le Perche. Les marchés se tiennent les mercredis sur la place du Marché, l'actuelle place de l’Hôtel de Ville, et sous les halles, tandis que le champ de foire, en haut de la rue du Général de Gaulle, accueillait jusqu’à six foires à bestiaux par an au milieu du 19e siècle. Profitant de cette activité, une quinzaine d’auberges sont attestés au bourg. Les plus anciennes sont déjà en activité au 17e siècle, à savoir les auberges de Sainte-Anne, du Lion d’Or et des Trois Rois. Leur nombre augmente de manière significative au 19e siècle, avec l’essor économique de la bourgade, pour atteindre son apogée au début du siècle suivant. S’ensuit un long déclin à partir de l’entre-deux-guerres jusqu’à la fermeture du dernier établissement, l’hôtel de France (rue du Général de Gaulle), dans les années 1990.
La ligne de tramway reliant La Loupe à Mortagne, en passant par Longny, est inaugurée en 1913. Intervenue trop tadivement, bien après la fermeture du haut-fourneau de Rainville dans les années 1850, cette ouverture n,a pu désenclaver le territoire. La ligne a assuré le transport de voyageurs et de marchandises jusqu'en 1937. La gare a été convertie en piscine municipale dans les années 1960.
Description
Située au nord du Parc naturel régional du Perche, la commune déléguée de Longny-au-Perche (commune nouvelle de Longny-les-Villages, canton de Tourouvre, Communauté de communes des Hauts du Perche) couvre une superficie de 3 913 hectares et compte, en 2023, 1 477 habitants.
Le plateau sur lequel elle se situe, anciennement exploité en bocage, est occupé par des champs cultivés et quelques prairies, à l’exception des massifs forestiers surtout présents à l’est. Les rivières de la Robioche et de la Jambée, ainsi que le ruisseau de Vaugelé, qui confluent au bourg, sillonnent le plateau agricole bordé en frange ouest par la vallée de la Commeauche. L´habitat se trouve dispersé sur l´ensemble du territoire communal, à l’exclusion des zones forestières. La commune déléguée compte environ 70 lieux-dits, dont une cinquantaine de fermes, maisons et moulins isolés et une vingtaine de hameaux, parmi lesquels le Bois Boulay, la Barbinière, Bizouieau, la Chauvelière les Yvieux et le Val du Tellier sont les plus importants. La quasi-totalité des fermes a changé de destination et a été convertie en maisons parmi lesquelles figurent nombre de résidences secondaires.
Les édifices et sites patrimoniaux les plus marquants se trouvent au bourg qui regroupe le château, l'église paroissiale, la chapelle Notre-Dame de Pitié, le presbytère, les halles, les maisons d'école de garçons et de filles, le site du Pont Rouge (pont, ancienne tannerie, maison de maître), les quelques maisons de notables et hôtels particuliers. Sur le reste du territoire communal, les éléments majeurs sont constitués par les sites industriels (Rainville, Beaumont, la Poêlerie, la Fenderie, Moulin de Vaugelé, Brochard), ainsi que par les fermes et maisons rurales de la Barre, Beauvais, le Bois Boulay, la Brière, la Grand Verdereau, la Grande Moisière, la Linardière et le Val du Tellier.
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Parc naturel régional du Perche
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Documents d'archives
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AD Orne. C 197/002. Longny-au-Perche – extrait de l’atlas des cartes royales, percement de la route de Sainte-Anne
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – travaux sur les édifices communaux – généralité (1880-1894).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – mairie (1850-1894).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – école de garçons (1852-1886).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – école de filles (1900-1913).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – église paroissiale Saint-Martin et chapelle Notre-Dame de Pitié (1828-1894).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – presbytère (1880-1881).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – monument aux morts (1921-1922).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – lavoir sur la Robioche (1894-1899).
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – halles (1820-1871).
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AD Orne. 2 O 230/6. Longny-au-Perche – cimetière (1832-1898).
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AD Orne. 3 P 3-230/1 => 3 P 3-230/11. Longny-au-Perche – matrices cadastrales (1831).
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AD Orne. 112 J 1. Fonds Maurice Leroux : notes historiques sur le Perche - notice sur Longny-au-Perche (Léon de la Sicotière).
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AD Orne. 112 J 2. Fonds Maurice Leroux : domaine de Longny (16e siècle - 19e siècle).
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AD Orne. 112 J 3. Fonds Maurice Leroux : vente du domaine de Longny (1853-1854).
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AD Orne. 112 J 4. Fonds Maurice Leroux : domaine de Longny - fermes et bordages - baux (17e siècle - 19e siècle).
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AD Orne. 112 J 9. Fonds Maurice Leroux : mémoire des titres de la seigneurie de la Bretèche à Longny (16e, 17e et 18e siècles).
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AD Orne. 1812 W 31. Longny-au-Perche – règlements d’eau des usines et moulins.
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AD Orne. E Dépôt 254/26. Longny-au-Perche – Pièces relatives au contentieux entre la commune et M. Leroy concernant l’abreuvoir (1851-1887).
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AD Orne. E Dépôt 254/50. Longny-au-Perche – statistiques industrielles et manufacturières : minéral, végétal, animal (1812).
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AD Orne. E dépôt 254/51. Longny-au-Perche – état de situation des tanneries par trimestre (1813).
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AD Orne. E Dépôt 254/123. Longny-au-Perche – Registres de mutations foncières (an VIII - 1849).
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AD Orne. E dépôt 254/330. Longny-au-Perche – halles et mairie (1831-1891).
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AD Orne. E dépôt 254/334. Longny-au-Perche – halles : travaux divers (1811-1884).
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AD Orne. E dépôt 254/335. Longny-au-Perche – achat de terre et travaux pour combler les fossés du château afin d’agrandir la place du marché (1854).
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AD Orne. E dépôt 254/336. Longny-au-Perche – champs de foire : travaux de nivellement (1812) et de clôture (1884).
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AD Orne. E dépôt 254/337. Longny-au-Perche – projet d’établissement de deux lavoirs publics (1879-1894).
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AD Orne. E dépôt 254/339. Longny-au-Perche – chapelle Notre-Dame de Pitié (1862-1907).
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AD Orne. E dépôt 254/341. Longny-au-Perche – église paroissiale Saint-Martin : travaux au clocher (1806-1850).
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AD Orne. E dépôt 254/342. Longny-au-Perche – travaux à l’église et au presbytère (1880-1891).
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AD Orne. E dépôt 254/343. Longny-au-Perche – travaux à l’école et au presbytère (1884).
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AD Orne. E dépôt 254/344. Longny-au-Perche – travaux au presbytère : devis et correspondance (an IX - 1903).
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AD Orne. E dépôt 254/346. Longny-au-Perche – école de garçons (1871-1885).
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AD Orne. E dépôt 254/347. Longny-au-Perche – édifice à usage d’établissement d’enseignement (1823-1839) et travaux effectués aux écoles communales (1904-1907).
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AD Orne. E dépôt 254/353. Longny-au-Perche – lettre de M. Charpentier au préfet de l’Orne (6 octobre 1863).
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AD Orne. E dépôt 254/356. Longny-au-Perche – adjudication des réparations à la Tréfilerie et au Martinet (18 thermidor an VII [5 août 1799]).
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AD Orne. E dépôt 254/358. Longny-au-Perche – adjudication des réparations des moulins (an VII - an VIII [1799]).
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AD Orne. E dépôt 254/363. Longny-au-Perche – adjudication de construction du pont rouge (1811-1813).
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AD Orne. E dépôt 254/365. Longny-au-Perche – adjudication des réparations du pont de pierre (3 germinal an VIII [24 mars 1800]).
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AD Orne. E dépôt 254/427. Longny-au-Perche – ruisseau de la Robioche : travaux de réparation au lavoir et à l’écluse (1866-1879).
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AD Orne. E dépôt 254/430. Longny-au-Perche – établissement d’usines et de moulins (1863-1871).
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AD Orne. 3 NUM LN 230. Longny-au-Perche : listes nominatives des recensements de population (entre l'an VIII à 1946).
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AD Orne. M 1402. Longny-au-Perche – tanneries : instruction, correspondance, enquêtes et rapports, plans (1806-1823).
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AD Orne. S 1024. Longny-au-Perche – règlements d’eau (1817-1890).
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AD Orne. SHAO 1332. LEROUX, Maurice. L’église paroissiale Saint-Martin de Longny-au-Perche – Monographie historique et archéologique, 1933 (manuscrit).
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AD Orne. SHAO 1333. LEROUX, Maurice. Le château de Longny-au-Perche – Étude d’archéologie, 1933 (manuscrit).
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AD Orne. Z 416. Longny-au-Perche – Hôtel de ville (1850-1851).
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AD Orne. Z 529. Longny-au-Perche – hospice de Longny (An XIII – 1831).
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AD Eure-et-Loir. H 5033. Donation à la fabrique de l'église Saint-Martin de Longny (1609-1644) ; fondation et érection du monastère Saint-Sauveur de Longny : donations, dotations, requête des habitants, consentement des dames d'Almenêches, etc. (1621-1644).
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AD Eure-et-Loir. H 5035. État général des biens du monastère Saint-Sauveur de Longny (Orne) - 1644-1736.
Bibliographie
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BOUDET, Philippe, DREUX-BRÉZÉ, Ghislain de, GALICIER, Albert et al. Guide des abbayes et prieurés du Perche et de ses confins. Rémalard : Amis du Perche, 2016.
p. 150 -
COLLECTIF. Site patrimonial remarquable de Longny-au-Perche (Orne) - Diagnostic patrimonial et environnemental, TOPODOC Claudie Herbaut / Gilson & associés Sas, 2020, 105 p.
-
FRET, Louis Joseph. Antiquités et chroniques percheronnes. Volume III. Paris : Le Livre d'histoire, 2001 (fac-similé de l'édition de 1840). [Google Books].
p.450-462 -
GUILLEMIN, Denis. Jardins du Perche. Fédération des amis du Perche. Arts Graphique du Perche, Meaucé, 1998.
p. 104-107 -
LECOMTE, Jacky. Longny et son canton. Coll. Mémoire en images, Saint-Cyr-sur-Loire : Éditions Alan Sutton, 2007, 128 p.
-
LEROUX, Maurice. Notre-Dame de Pitié – Longny-au-Perche. Manuel de pèlerinage, prières et cantiques – Notice historique illustrée de la chapelle et de la statue miraculeuse de Notre-Dame de Pitié. La Chapelle-Montligeon : Impr. de Montligeon, 1927.
-
LEROY, Annick, LEROY, Jean-Louis, Une brève histoire de l'Inardière. Tapuscrit, novembre 2015, 25 p.
-
MAILLARD, Florent (dir.), BILLAT, Hélène (dir.), MERRET, Patrick (phot.), LAMORLETTE, Vanessa (phot.) . Architectures du Perche. Lyon : Lieux-dits, 2018. 192 p.
-
YVARD, Éric. Histoire du château de Longny (Orne) - étude historique. Tapuscrit, 2019.
Périodiques
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BACHÉ, Jean-Marc. Les seigneurs de Longny-au-Perche aux XIe et XIIe siècles. Cahiers Percherons, 2022, n°232.
p. 7-17 -
LEROUX, Maurice. Longny, centre industriel, in Société Percheronne d'Histoire et d'Archéologie, tome XXVI, 1928-1929.
-
LEVASSORT, G. Le passé de Longny. Société Percheronne d’Histoire et d’Archéologie, t. VIII, 1909.
p. 12-19 -
MORAND, Fabrice, QUIBLIER, André. Longny-au-Perche au fil du temps – Nouvelles recherches historiques et archéologiques. Cahiers Percherons, 2018, n°215.
-
NEVEU, Lucien. Longny-au-Perche – 1900-1914, tome I, le bourg. Cahiers Percherons, 1975, n°45.
-
NEVEU, Lucien. Longny-au-Perche – 1900-1914, tome II, la campagne. Cahiers Percherons, 1975, n°46.
-
NEVEU, Lucien, SIGURET, Philippe. Longny-au-Perche - Chapelle Notre-Dame de Pitié - Eglise Saint-Martin. Art de Basse-Normandie, n°72, Cahiers Percherons, n°45 (supplément), 3e trimestre 1977, p. 1-19.
-
QUIBLIER, André. Regards sur la métallurgie dans le Perche – Histoire du moulin de Rainville et de la forge de Longny. Cahiers Percherons, 2015, n°202.
p. 2-26 -
SALLES, Odette. Un trésor de l’Age de Bronze à Longny-au-Perche. Société Historique et Archéologique de l’Orne, t. LXXXIII, 1965.
p. 247-256 -
SIGURET, Philippe. Manoirs et châteaux des cantons de Longny et de Tourouvre. Cahiers Percherons, 1959, n°12.
p. 3-7 -
TOURNOÜER, Henri. Un chef-d’œuvre de l’art de la Renaissance dans le Perche – La chapelle Notre-Dame de Longny – Sa construction et son architecture, 1545-1549. Société Historique et Archéologique de l’Orne, t. XXIV, 1905.
Documents figurés
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AD Orne. 2 O 230/4. Longny-au-Perche – école, plans.
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AD Orne. 2 O 1458. Longny-au-Perche – plans de voirie urbaine.
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AD Orne. 3 P 2-230/1 => 3 P 2-230/21. Longny-au-Perche – plans cadastraux (1831).
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AD Orne. E dépôt 254/367. Longny-au-Perche – plan de nivellement de la rue de l’Église (vers 1850).
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AD Orne. E dépôt 254/390. Longny-au-Perche – chemin de grande communication n°8 (de Sées à Senonches), traversée de Longny, plan d’alignement (1854).
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AD Orne. E dépôt 254/423. Longny-au-Perche – projet de renouvellement du curage de la rivière la Jambée et ses affluents, plans (1880-1896).
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AD Orne. E dépôt 254/424. Longny-au-Perche – projet de renouvellement du curage du ruisseau des Vieux Biez, plans (1883).
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AD Orne. E dépôt 254/425. Longny-au-Perche – projet de renouvellement du curage du ruisseau du Vaugelay, plans (1863-1884).
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AD Orne. E dépôt 254/426. Longny-au-Perche – projet de renouvellement du curage du ruisseau de Fermée, plans (1860-1869).
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AD Orne. 23 Fi 103. Longny-au-Perche - Chapelle Notre-Dame de Pitié, projets de construction de l'escalier monumental, plans dressés par l'architecte départemental Charles Arnoult en 1863.
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AD Orne. 58 Fi - Fonds Henry Sevray.
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AD Orne. Z 454. Longny-au-Perche – plans d’alignement (1856-1902).
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AD Eure-et-Loir. 2 Fi 363/06. Longny-au-Perche (Orne) : Plan terrier de la Linardière (?), non-daté (2e moitié 18e siècle) et non-signé.
Chercheur associé au Parc naturel régional du Perche depuis 2011, en charge de l'étude et de la valorisation du patrimoine bâti.
Chercheur associé au Parc naturel régional du Perche depuis 2011, en charge de l'étude et de la valorisation du patrimoine bâti.