Dossier de présentation du mobilier IM50000721 | Réalisé par
Allavena Stéphane
Allavena Stéphane

Chercheur (Conservateur du patrimoine) à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie de 2005 à 2012, en charge de l'étude sur la ville de Cherbourg-Octeville (Manche).

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  • inventaire topographique, Cherbourg-Octeville
le mobilier de l'arsenal, arsenal

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Cherbourg-Octeville - Cherbourg

La production de navires de guerre débute à Cherbourg en 1794, 1 siècle et demi après la création des chantiers navals de Brest, Toulon et Rochefort. La Colombe, brick-goélette conçu par l’ingénieur constructeur Forfait est alors le premier navire sorti des ateliers cherbourgeois. En l’absence néanmoins d’un lieu spécifiquement dévolu à la construction navale, les premiers bateaux sont construits, sous la Révolution et l’Empire, dans des chantiers de fortune installés en ville. Le premier, baptisé plus tard "Vieil arsenal", se situe à l’est de l’avant-port de commerce, en un lieu occupé avant 1793 par les ateliers de l’entrepreneur Boulabert, le second à partir de 1810 au lieu dit de Chantereyne à l’ouest de la ville, où l’ingénieur des ponts Cachin a fait construire deux nouvelles cales de construction. A partir de 1829, l’'essentiel de la production a lieu au nouvel arsenal où quatre cales de construction sont édifiées entre 1811 et 1823 au sud de l’avant-port, puis sept autres autour du troisième bassin en 1858, peu avant l’inauguration de la fin des travaux par Napoléon III. D’autres cales verront le jour par la suite en fonction des besoins et de la taille des navires, comme la cale du Galet, construite en 1902 spécifiquement pour le croiseur cuirassé Jules Ferry. Entre 1794 et 1971, 436 navires vont être construits au port de Cherbourg. Leur évolution illustre les grands moments de l’histoire de la navigation française.

  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Besuchet Anne-François-Joseph
      Besuchet Anne-François-Joseph

      Né le 23 décembre 1790 à Salins (Jura). 1825 : sous-ingénieur à la direction des constructions navales de Toulon. 1er janvier 1826 : sous-ingénieur de 1ère classe. 1er juillet 1834 : ingénieur de 2e classe. 3 octobre 1842 : ingénieur de 1ère classe. 1843 : retraite.

      Sources consultées le 22 novembre 2017 :

      Annales maritimes et coloniales, Paris : Imprimerie royale, 1825, p. 139, URL : cans.library.utoronto.ca/pdf/7/22/tablemthodique24pari/tablemthodique24pari.pdf.

      Annales maritimes et coloniales, Paris, imprimerie royale, 1833 ; id., 1838. (numérisé par Archives.org)

      Bulletin des lois du royaume de France, IXe série, règne de Louis-Philippe roi des Français, Paris : imprimerie royale, février 1744, t. XXIV, p. 334. (numérisé par Google)

      La Presse, 3 octobre 1842, URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k428990c/texteBrut.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Boucher
      Boucher

      Ingénieur de la marine. 1825 : ingénieur de 2e classe, sous-directeur de 1ère classe à Laon, directions forestières de la marine pour la recherche, le martelage et l'exploitation des bois propres aux constructions navales, bassin de la Seine. Directeur des constructions navales et secrétaire du Conseil d'amirauté. Ministère de la Marine et des Colonies, secrétaire général (février 1831 - août 1837). Auteur d'un Mémoire sur la charpente des vaisseaux, en réponse à la question proposée par M. le Ministre de la marine sur les moyens de diminuer la consommation des bois de chêne de fortes dimensions qui entrent dans la construction des vaisseaux, juin 1821.

      Sources consultées le 23 novembre 2017 :

      Jean-Michel Eymeri-Douzans, Xavier Bioy et Stéphane Mouton (dir.), Le règne des entourages, cabinets et conseillers de l'exécutif, Paris : Presse de la Fondation nationale des sciences politiques, 2015. (numérisé par Google)

      Almanach royal, Paris : M.-P. Guyot, 1823, p. 645. (numérisé par Google)

      Site internet du SHOM (Service hydrographique et océanographique de la marine), URL : http://www.shom.fr/fileadmin/SHOM/PDF/02-Produits/Annales_hydrographiques/Annales_maritimes_et_coloniales/annale_coloniale_1832.2.pdf.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Bretocq Louis Jean Baptiste
      Bretocq Louis Jean Baptiste

      Né le 22 août 1774 à Saint-Etienne-la-Thillaye (14) et décédé le 22 février 1853, de Louis-Charles Bretocq et de Marie Londe. Élève ingénieur de la Marine à Toulon du 18 mars 1794 au 8 janvier 1795 puis à l’École d'application des ingénieurs de la Marine à Paris jusqu'au 21 septembre 1797. Sous-ingénieur de 3e classe au Havre du 22 septembre 1797 au 4 mars 1798 puis à Anvers du 5 mars 1798 au 1er octobre 1798. Sous-ingénieur de 2e classe à Anvers du 2 octobre 1798 au 24 février 1799 puis à Dunkerque à compter du 25 février 1799. Sous-ingénieur de 1ère classe à Dunkerque du 14 décembre 1800 au 9 juillet 1801, en qualité d'ingénieur de 2e classe du 10 juillet 1801 au 31 décembre 1815. Dans l'intervalle, nommé commissaire spécial du roi pour la partage des bâtiments de guerre et munitions navales au port d'Ostende le 9 juillet 1814. Sous-directeur des constructions navales du port de Rochefort (1er janvier 1816 - février 1818), il remporte en 1817, avec Simon et Filhon, ingénieur du génie maritime comme lui, le concours organisé pour donner les plans d'une frégate armée de 50 bouches à feu ; à la suite, sept frégates seront construites sur ces plans. Enfin, il est muté aux constructions navales de Cherbourg en qualité de sous-directeur de 2e classe (1818-1819), puis de directeur de 2e classe (1820-1824) et de directeur (1824-1830).

      Chevalier de la Légion d'honneur le 30 août 1814. Officier de la Légion d'honneur le 30 octobre 1829. Membre de la Société de littérature, sciences et arts de Rochefort où il est admis le 27 décembre 1816 ; le 28 mars 1817, il intervient sur un projet de règlement sur la tenue des archives et la communication des journaux, périodiques et livres. 1829 : membre correspondant de la Société académique de Cherbourg.

      L'Espérance, brick portant 14 bouches à feu, construit sur les plans de Bretocq et lancé en 1825.

      Sources consultées le 21 novembre 2017 :

      Site internet du ministère de la culture, base Léonor, URL : http://www.culture.gouv.fr/LH/LH028/PG/FRDAFAN83_OL0359091v001.htm.

      Site internet du CTHS, URL : http://cths.fr/an/prosopo.php?id=118640#.

      L. Morel-Fatio, Notice des collections du Musée de la Marine exposées dans les galeries du Musée impérial du Louvre, Paris, 1853, n°685, p. 141. (numérisé par Google)

      Site internet Threedecks, consulté le 22 novembre 2017, fiches techniques de plusieurs bateaux, URL : https://threedecks.org/index.php?display_type=show_crewman&id=24210.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Dupin Pierre Charles François
      Dupin Pierre Charles François

      Sources :

      Site internet Wikipédia, consulté le 24 novembre 2017, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Dupin.

      Carole Christen et François Vatin, Charles Dupin (1784-1873) : ingénieur, savant économiste, pédagogue et parlementaire, du Premier au Second Empire, Rennes, PUR, 2009, 308 p. Introduction mise en ligne sur le site des PUR, URL : http://www.pur-editions.fr/couvertures/1242830519_doc.pdf.

      Christian Bozon, « Colloque Charles Dupin 25 et 26 octobre 2007 », Bulletin de la Sabix [En ligne], 42 | 2008, mis en ligne le 08 novembre 2010, consulté le 24 novembre 2017. URL : http://sabix.revues.org/99.

      Site internet de l'Assemblée nationale, URL : http://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/11647.

      Site internet du Sénat, URL : https://www.senat.fr/senateur-2nd-empire/dupin_pierre_charles_francois0332e2.html.

      Site internet Geneanet, URL : https://gw.geneanet.org/garric?lang=fr&n=dupin&p=pierre+charles+francois.

      Site internet du CTHS, URL : http://cths.fr/an/prosopo.php?id=114474.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Dupuy de Lôme Stanislas Charles Henri Laurent
      Dupuy de Lôme Stanislas Charles Henri Laurent

      Né au château de Soye à Plœmeur, près de Lorient (Morbihan) le 15 octobre 1816 et mort à Paris le 1er février 1885.

      Sources :

      Site internet des Archives départementales du Morbihan, consulté le 28 novembre 2017, URL : http://www.archives.morbihan.fr/voyagez-dans-le-temps/un-constructeur-de-genie/.

      Site internet Wikipédia, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Dupuy_de_L%C3%B4me.

      Site internet du Musée national de la Marine, Paris, URL : http://www.musee-marine.fr/content/la-gloire.

      Site internet la Jaune et la Rouge, revue mensuelle de l'association des anciens élèves et diplômés de l'école, URL : http://www.lajauneetlarouge.com/article/henri-dupuy-de-lome-1835-renaissance-en-3d#.Wh2CNXqW_-U.

      Site internet de la BNF, URL : http://data.bnf.fr/15354812/laurent_dupuy_de_lome/.

      Site internet du Ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=DUPUY%20DE%20LOME.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Lair Pierre Jacques Guillaume
      Lair Pierre Jacques Guillaume

      Né le 10 août 1769 à Caen et mort le 27 mars 1830 à Caen.

      Sources :

      Site internet Wikipédia, consulté le 23 novembre 2017, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Lair.

      F. X. de Feller, Dictionnaire historique, Lille : L. Lefort imprimeur-libraire, 1832, t. VII, p. 541. (numérisé par Google)

      Biographie universelle et portative des contemporains, Paris : F. G. Levrault, 1834, t. V, p. 387. (numérisé par Google)

      Revue encyclopédique, Nécrologie de Pierre-Jacques-Gabriel Lair, Paris, juillet-septembre 1830, t. XLVII, p. 518-519. (numérisé par Google)

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      ingénieur
    • Auteur :
      Laubeuf Alfred Maxime
      Laubeuf Alfred Maxime

      Né le 23 novembre 1864 à Poissy (Yvelines), de Alexandre Eugène Laubeuf maître charpentier et de Nina Victorine Donzin, et mort le 23 décembre 1939 à Cannes. Pionnier de la construction navale, il est le « père » des premiers sous-marins français au début du 20e siècle.

      Carrière :

      Octobre 1883-1885 date à laquelle il, intègre l’École d'application du Génie maritime à compter du 1er octobre

      8 novembre 1887 Sous-ingénieur de 3e classe de la marine

      9 novembre 1889 Sous-ingénieur de 2e classe

      8 juillet 1893 Sous-ingénieur de 1ère classe

      26 mai 1899 Ingénieur de 1ère classe

      1er mars 1900 Ingénieur en chef de 2e classe

      15 mai 1905 Ingénieur en chef de 1ère classe

      27 octobre 1906 Démissionne pour se consacrer à l'étude des navires légers à grande vitesse et à la navigation sous-marine

      1906 Ingénieur-conseil de Schneider et des ateliers et chantiers de La Brosse et Fouché à Nantes.

      9 octobre 1909 Ingénieur en chef de 1ère classe de réserve

      2 août 1914 rappelé à l'activité comme Ingénieur en chef de 1ère classe de réserve.

      Sources consultées le 30 novembre 2017 :

      Michèle Battesti, Notice biographique dans l'ouvrage Les militaires qui ont changé la France, Paris : le cherche midi, 2008. (numérisé par Google)

      Site internet de la Bibliothèque centrale de l'Ecole Polytechnique, base La famille polytechnicienne, URL : https://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/2773QJ91JYCGIULNCUFVB77AYJQ15MCYECUEVJ5JSNHR34362M-00450?func=full-set-set&set_number=000397&set_entry=000001&format=999.

      Site internet Ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=LAUBEUF&NUMBER=1&GRP=0&REQ=%28%28LAUBEUF%29%20%3aNOM%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All.

      Site internet WikiManche, URL : https://www.wikimanche.fr/Maxime_Laubeuf.

      Site internet du CTHS, URL : http://cths.fr/an/prosopo.php?id=112621.

      Site internet de la mairie de Tourlaville, "Maxime Laubeuf un ingénieur insumersible", Reflets, mai 2005, n°99, p. 18-21, tiré de l'ouvrage de Henri Le Masson, Les sous-marins français des origines (1863) à nos jours, Brest : Ed. de la cité, 1981, URL : http://www.mairie-tourlaville.fr/fr/loisirs-activites/histoire-locale/dossiers-en-consultation/fichiers/maxim_elaubeuf.pdf.

      Rémi Monaque, Une histoire de la marine de guerre française, Paris : Perrin, 2016. (numérisé par Google)

      Albert Portevin, Notice sur la vie et les travaux de Maxime Laubeuf (1864-1939), Académie des sciences, séance du 15 octobre 1951, p. 277-185, URL : http://www.academie-sciences.fr/pdf/eloges/laubeuf_notice.pdf.

      Site internet Net-Marine Forum Marine française, Du submersible au sous-marin pur: AGSS569 ALBACORE, URL : http://forum.netmarine.net/viewtopic.php?t=3136.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Lebelin de Dionne Alfred François
      Lebelin de Dionne Alfred François

      Né le 22 novembre 1824 à Trouhaut (Côte-d'Or), de Jules François Lebelin de Dionne et d'Agathe Zoé de la Folly, et décédé le 17 avril 1907 à Bordeaux . Origines familiales : Ile-de-France ; armoiries : De sinople, à trois béliers d'argent, les deux du chef affrontés. 1er novembre 1844 : entrée à l'École Polytechnique. 1er octobre 1846 : admis dans le service du Génie maritime à Rochefort. 10 juin 1848 : sous-ingénieur de 3e classe. 23 février 1853 : sous-ingénieur de 2e classe. 17 mars 1858 : sous-ingénieur de 1ère classe. 1er janvier 1860 : adjoint à la Direction des constructions navales du 2ème arrondissement maritime (Brest) auprès de Jean Bayle, directeur. 12 août 1862 : chevalier de la Légion d'honneur. 3 février 1866 : ingénieur de 2e classe. 1er janvier 1869 : en poste à Rochefort. 8 novembre 1872 : ingénieur de 1ère classe. 5 mars 1874 : officier de la Légion d'honneur. 1er janvier 1881 : à Paris, Sous-Directeur, chargé du 1er Bureau - Constructions navales et Travaux hydrauliques - de la 2ème Direction - Matériel - du Ministère de la Marine ( Directeur, Victorin Sabattier).

      Secrétaire de la Société d'agriculture, sciences et belles-lettres de Rochefort.

      Sources consultées le 29 novembre 2017 :

      Alain Erlande-Brandenburg et Catherine Vich, Catalogue des plans de bâtiments à voiles conservé dans les archives de la marine, Paris : Service historique de la Défense, 2010, URL : http://piratesahoy.bowengames.com/Nomemclature_des_batiments_marine_nationale.pdf.

      Annuaire de la Cochinchine française, 1879, p. 95, URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773157p/texteBrut.

      Annuaire héraldique contenant la nomenclature de toutes les familles françaises et étrangères, 1902, p. 709, URL : https://www.psbenlyonnais.fr/wp-content/uploads/2014/01/N6562428_PDF_701_800.pdf. (Gallica)

      L’Électeur du Finistère, 16 octobre 1876 , URL : http://mnesys-viewer.archives-finistere.fr/accounts/mnesys_cg29/datas/medias/collections/bibliotheque/presse/4MI060/FRAD029_4MI_060_1876_10_02_001_1876_10_30_004.pdf.

      Les sociétés savantes de Rochefort (1806-2006), Société de géographie de Rochefort, 2007, p. 70.

      Site internet La Jaune et la Rouge, revue mensuelle de l'association des anciens élèves et diplômés de l'école, URL : http://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/?func=find-b&request=LEBELIN+DE+DIONNE+Alfred+Fran%C3%A7ois+1844&find_code=WPE&adjacent=N&local_base=BCXC2.

      Site internet Ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=LEBELIN%20DE%20DIONNE&NUMBER=1&GRP=0&REQ=%28%28LEBELIN%20DE%20DIONNE%29%20%3aNOM%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All.

      Site internet Geneanet, URL : https://gw.geneanet.org/jogerst?lang=fr&pz=david+vincent&nz=borderie&ocz=0&p=alfred+francois&n=lebelin+de+dionne.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Rolland Pierre-Jacques-Nicolas
      Rolland Pierre-Jacques-Nicolas

      Né le 15 juin 1765 à Brest (Finistère) et mort le 9 décembre 1837 à Paris.

      Source : site internet du CTHS, consulté le 23 novembre 2017, URL : http://cths.fr/an/prosopo.php?id=112331#.

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      ingénieur
    • Auteur : ingénieur
    • Auteur :
      Mangin Amédée Paul Théodore
      Mangin Amédée Paul Théodore

      Né le 25 octobre 1818 à Paris 3e, de Amédée Jean Théodore, officier retraité et directeur de la poste à Calais, et de Julie Charlotte Albertine Boettcher, et mort le 18 juillet 1879. 1er novembre 1837 : entrée à l’École Polytechnique. 8 octobre 1839 : admis dans le service du Génie maritime, 1er de sa promotion. 4 juin 1841 : sous-ingénieur de 3e classe, référencé en 1842 aux constructions navales d'Indret (près de Nantes). 11 juin 1843 : sous-ingénieur de 2e classe, référencé en 1845 aux constructions navales de Cherbourg. 11 juin 1846 : sous-ingénieur de 1ère classe. 23 février 1853 : ingénieur de 2e classe. 17 mars 1858 : ingénieur de 1ère classe. 9 mars 1861 : officier de la Légion d'honneur. 30 décembre 1854 : chevalier de la Légion d'honneur. 12 février 1871 : directeur des constructions navales. 10 décembre 1874 : commandeur de la Légion d'honneur.

      Sources consultées le 28 novembre 2017 :

      Almanach royal et national, Paris : A. Guyot et Scribe, 1842, p. 734 ; 1845, p. 765.

      Site internet du ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=MANGIN&NUMBER=10&GRP=0&REQ=%28%28MANGIN%29%20%3aNOM%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All.

      Site internet de la SABIX (Bulletin de la Société des Amis de l'X), acquisition de la correspondance de l’École Polytechnique à l'élève Mangin, URL : http://www.langues.polytechnique.edu/1794-1795-les-premieres-annees-du-concours-d-admission-a-l-x-292547.kjsp.

      Site internet La Jaune et la Rouge, revue mensuelle de l'association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique, URL : http://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/?func=find-b&request=MANGIN+Am%C3%A9d%C3%A9e+Paul+Th%C3%A9odore+1837&find_code=WPE&adjacent=N&local_base=BCXC2.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Marestier Jean-Baptiste
      Marestier Jean-Baptiste

      Né le 17 mai 1781 à Saint-Servan-sur-Mer (Ille-et-Vilaine) et mort le 22 mars 1838 à Brest, fils de Pierre Maurice Marestier, rentier, et de Marie Bourtinel. Ingénieur du génie maritime.

      26 novembre 1799 : entrée à l’École Polytechnique. 3 juin 1803 : élève ingénieur du Génie maritime. 21 juillet 1804 : sous-ingénieur de la marine de 1ère classe. Il travaille à Paris et Rouen avant d'être muté à l'arsenal de Gênes puis à celui de Livourne en 1809. 1er mai 1809 : sous-ingénieur de la marine de 1ère classe. De retour en France en 1813 à Toulon, il sert à Rochefort en 1815 puis à Bayonne en 1816 où il est le directeur de la construction des navires de charge d'un nouveau modèle. Entre temps, il est nommé le 15 mai 1813 capitaine de 1ère classe d'une compagnie des ouvriers militaires de la marine, charge qu'il exerce jusqu'à la dissolution de ce corps le 31 mars 1816. Ingénieur de 3e classe (8 septembre 1819), il étudie les premiers essais de navigation à vapeur et effectue de 1818 à 1820, à la demande du ministre de la Marine Portal soucieux de développer les forces navales françaises, une mission aux États-Unis dont il ramène un mémoire que l'Académie des sciences remarque ("Mémoires sur les bateaux à vapeur des États-Unis d'Amérique" (1824) numérisé par Google). En 1822, il établit les plans d'un vapeur pouvant remorquer les vaisseaux sur la Charente entre Rochefort et la mer et devient ingénieur de 2e classe en avril 1823. En 1824, il obtient un témoignage de satisfaction pour la construction du Coureur. Il effectue un voyage d'études en Angleterre et est nommé en 1830, directeur des ports. Ingénieur de 1ère classe (octobre 1830), il devient membre du Conseil des travaux en février 1831 et est missionné dans les ports pour y superviser la construction des navires à vapeur. Il construit le premier bâtiment à vapeur français. Autre ouvrage : "Sur les explosions de machines à vapeur et les précautions à prendre pour les prévenir" (1828).

      28 avril 1821 : chevalier de la Légion d'honneur.

      Sources consultées le 24 novembre 2017 :

      Site internet Geneanet, URL : https://gw.geneanet.org/garric?lang=fr&p=jean+baptiste&n=marestier.

      Site internet Wikipedia, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Marestier.

      Site internet Ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=COTE&VALUE_1=LH%2F1736%2F39.

      Site internet La Jaune et la Rouge, revue mensuelle de l'association des anciens élèves et diplômés de l’École Polytechnique, URL : http://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/?func=find-b&request=MARESTIER+Jean+Baptiste+1799&find_code=WPE&adjacent=N&local_base=BCXC2.

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      ingénieur
    • Auteur :
      Roquebert Jean jacques Léon
      Roquebert Jean jacques Léon

      Né le 21 décembre 1880 à Paris 8e, de André Jacques Roquebert (profession d'agriculteur dans le registre matricule de l’École Polytechnique, d'avocat à la cour d'appel de Paris sur le site Geneanet) et de Léonie Ducloux, et mort le 21 mars 1963 à Neuilly-sur-Seine.

      Carrière :

      12 octobre 1899 Entrée à l’École Polytechnique

      1901 Admis dans le service du Génie maritime

      1er octobre 1901 Ingénieur de 3e classe

      Octobre 1903 Ingénieur de 2e classe

      1er janvier 1906 affecté à la Direction des constructions navales du 1er arrondissement maritime à Cherbourg

      10 novembre 1906 Ingénieur de 1ère classe

      1911-1912 Chargé des cours de charpentage, d'électricité et de géométrie descriptive à l'École secondaire de Maistrance

      21 août 1914 Ingénieur principal

      1er janvier 1917 Affecté au Service technique des constructions navales à Paris

      1er mai 1919 Ingénieur en chef 2e classe

      1er janvier 1921 Chargé des cours de sous-marins à l’École d'application du génie maritime à Paris

      9 janvier 1925 Ingénieur en chef 1ère classe

      1er janvier 1932 Sous-directeur du Service technique de la Direction centrale des constructions navales à Paris

      1933 Directeur des constructions navales du 3e arrondissement maritime de Lorient

      Avril 1935 Ingénieur Général de 2ème classe du Génie Maritime

      1er janvier 1937 Directeur des constructions navales du 2e arrondissement maritime de Brest

      Novembre 1939 Ingénieur Général de 1ère classe des constructions navales à l'Amirauté

      Décembre 1942 Retraite

      Commandeur de la Légion d’Honneur

      Sources consultées le 30 novembre 2017 :

      Site internet Musée des étoiles, URL : http://museedesetoiles.fr/piece/ingenieur-general-marine-roquebert-3/

      Site internet Bibliothèque Centrale École Polytechnique, base La famille polytechnicienne, URL : https://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/JBHR1JPUVUN34ENE1ASGQL23EY9GEQKAAS6EK392T5M6YQT1L5-11189?func=full-set-set&set_number=000832&set_entry=000002&format=999.

      Site internet Ministère de la culture, base Leonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=ROQUEBERT&NUMBER=7&GRP=0&REQ=%28%28ROQUEBERT%29%20%3aNOM%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All (dossier consultable sur le site de Fontainebleau des ANF, non numérisé)

      Site internet WikiManche, URL : https://www.wikimanche.fr/Jean-Jacques_Roquebert.

      Site internet École navale traditions, URL : http://ecole.nav.traditions.free.fr/officiers_roquebert_jean_jacques.htm.

      Site internet Geneanet, URL : https://gw.geneanet.org/garric?lang=fr&n=roquebert&p=leon.

      Site internet de l'Amicale des anciens marins des aéroports d'Ile-de-France, article sur la flotte sous-marine française de 1939, URL : http://www.anciensmarins.fr/pages/informations/information/la-flotte-sous-marine-francaise-de-1939.html.

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    • Auteur :
      Sané Jacques-Noël
      Sané Jacques-Noël

      Sources :

      Site internet Espaces des sciences, consulté le 22 novembre 2017, article de Philippe Henwood (Service historique de la Marine, Brest), URL : https://www.espace-sciences.org/sciences-ouest/archives/sane-le-vauban-de-la-marine.

      Site internet Histoire de frégates, URL : http://www.histoire-de-fregates.com/component/content/article?id=15.

      Site internet Napoléon, site d'histoire de la fondation Napoléon, URL : https://www.napoleon.org/histoire-des-2-empires/biographies/sane-jacques-noel-1740-1831-ingenieur-naval-baron-de-lempire/.

      Site internet Académie de marine, URL : http://www.academiedemarine.com/anciens/Sane.php.

      site internet WikiBrest, URL : http://www.wiki-brest.net/index.php/Jacques-No%C3%ABl_San%C3%A9.

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    • Auteur :
      Forfait Pierre-Alexandre-Laurent
      Forfait Pierre-Alexandre-Laurent

      Né le 21 avril 1752 à Rouen et mort le 8 novembre 1807.

      Activité de l'ingénieur à Cherbourg :

      En 1798, il reçoit l'ordre du Ministère d'achever à Cherbourg deux vaisseaux pré-fabriqués au Havre et de déterminer l'emplacement des cales de construction. C'est ainsi que naissent les deux cales de Chantereyne.

      De 1793 à 1803, l'arsenal est consacré à la réparation et la rénovation de goélettes telle La Colombe issue des chantiers Boulabert.

      Sources :

      Site internet Académie de marine, consulté le 21 novembre 2017, URL : http://www.academiedemarine.com/anciens/Forfait.php. Site internet WikiManche consulté le 21 novembre 2017, URL : https://www.wikimanche.fr/Arsenal_de_Cherbourg.

      Site internet Wikipédia, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Alexandre-Laurent_Forfait

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    • Auteur :
      Boulabert André
      Boulabert André

      Les frères Boulabert - André et Jean - sont avec Pierre (?) Mignot les entrepreneurs des travaux de la rade de Cherbourg qui fédèrent, avec la pratique maçonnique, ce milieu professionnel. L'arsenal de Cherbourg a été construit à l'emplacement des « petits établissements privés des frères Boulabert [...] réquisitionnés (loués puis acquis) pour créer en 1793 le Service des Constructions Navales qui [devint] le premier employeur de la ville ». Le chantier naval Boulabert, composé de deux cales, était précisément situé « dans la partie est de l'avant-port de commerce ». Le gouvernement l'acquiert en l'an VIII pour la somme de 119 300 francs pour en faire l'arsenal de la Marine.

      Sources :

      Collection générale des décrets rendus par l'Assemblée nationale législative, Paris, mai-juin 1792, p. 106, ouvrage numérisé consulté le 20 octobre 2017, URL : https://books.google.fr/books?id=1WZeAAAAcAAJ&pg=PA106&lpg=PA106&dq=Boulabert+fr%C3%A8res+entrepreneur+Cherbourg&source=bl&ots=r_7q8mk42W&sig=B5y3H2L15xGsYrmL0VbCd97meJ8&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjVxquDpf_WAhUDI1AKHekXA1UQ6AEIJjAA#v=onepage&q=Boulabert%20fr%C3%A8res%20entrepreneur%20Cherbourg&f=false .

      Eric Saunier, Révolution et sociabilité en Normandie au tournant des XVIIIe siècle et XIXe siècles, Publications des universités de Rouen, 1998, p. 202, ouvrage numérisé consulté le 20 octobre 2017, URL : https://books.google.fr/books?id=9gP5DonIwckC&pg=PA202&lpg=PA202&dq=Andr%C3%A9+Boulabert+entrepreneur+Cherbourg&source=bl&ots=N2LV0GBWAc&sig=CN7OdyGbKcOfg2tststfePoNPvc&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiai9b6oP_WAhUJYVAKHSQwAjQQ6AEIMzAD#v=onepage&q=Andr%C3%A9%20Boulabert%20entrepreneur%20Cherbourg&f=false.

      Paul Lecacheux, Inventaire des archives de la Marine, Sous-série D/2, Paris , Imprimerie nationale, 1965, site des Archives nationales consulté le 20 octobre 2017, URL : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/series/pdf/Marine-D2.pdf.

      Fabrice Ripoll, « Cherbourg, ville-arsenal en crise », Norois, n°190, 2004/1, mis en ligne le 03 septembre 2008, consulté le 20 octobre 2017, URL : http://norois.revues.org/77.

      Site internet Wikimanche consulté le 20 octobre 2017, URL : https://www.wikimanche.fr/Arsenal_de_Cherbourg.

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    • Auteur :
      Cachin Joseph-Marie-François
      Cachin Joseph-Marie-François

      Sources :

      Site internet Wikipedia, consulté le 4 octobre 2017, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Cachin.

      Site internet Bibnum (http://bibnum.revues.org/662), base Léonore (http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore).

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    • Auteur :
      Bertin Louis-Emile
      Bertin Louis-Emile

      Sources :

      Site internet Wikipédia, consulté le 29 novembre 2017, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-%C3%89mile_Bertin.

      Hervé Bernard, L'ingénieur général de 1ère classe du Génie maritime, Louis Emile Bertin 1840-1924, créateur de la marine militaire moderne du Japon, [s. d.], URL : http://ecole.nav.traditions.free.fr/pdf/bertin_bio_france_japon.pdf (site internet École navale traditions)

      Togari, Louis-Emile Bertin, son rôle dans la création de la marine japonaise, Paris, 1935, URL : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8510652.

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    • Auteur :
      Leroux Paul-Marie
      Leroux Paul-Marie

      Né le 6 octobre 1786 à Aunay (Calvados) de Robert Philippe Victor le Roux, receveur des Domaine et Enregistrement à Cherbourg, et de Marie Jeanne Angélique Mondey Dumoutier. Petit-fils de l'architecte naval Jacques-Noël Sané (1740-1831). 24 octobre 1806-28 juin 1808 : École Polytechnique ; son frère aîné Victor-Arsène en fut également élève (1802). 1808-1810 : élève ingénieur non admis au service des constructions navales du port de Lorient. 1er mars-31 juillet 1810 : élève ingénieur admis, id. 5 août 1810 - 10 janvier 1811 : élève ingénieur au service des constructions navales, Paris. 11 janvier 1811 - 16 février 1813 : secrétaire du Conseil des constructions navales, département de la marine et des colonies, en qualité de sous-ingénieur de 3e classe. 17 février au 31 mars 1813 : sous-ingénieur de 3e classe aux constructions navales du port de Toulon. 1er avril 1813 - 15 juillet 1814 : Commandant capitaine de la 2e compagnie, service militaire de l'arsenal de Toulon (ouvriers militaires de la marine).

      Le reste de sa carrière se déroule essentiellement au service des constructions navales à Cherbourg. 16 juillet 1814 - 30 juin 1818 : sous-ingénieur de 2e classe. 1er juillet 1818 - 31 décembre 1825 : sous-ingénieur de 1ère classe, service dans les forêts pour la reconnaissance des bois propres aux constructions navales, direction forestière à Rouen. 4 janvier 1826 - 20 avril 1827 : ingénieur constructeur de la marine de 3e classe. 29 octobre 1826 : chevalier de la Légion d'honneur. 6 septembre 1829 : officier de la Légion d'honneur. 1831 : ingénieur de 2e classe. Par ordonnance royale du 2 décembre 1842 : ingénieur de la marine de 1ère classe, Leroux est nommé directeur des constructions navales. 26 avril 1846 : commandeur de la légion d'honneur.

      Sources consultées le 28 novembre 2017 :

      3 siècles de génie maritime : la construction navale en France, Paris : Musée national de la Marine, [2011], PDF en ligne sur le site de l'ENSTA ParisTech, URL : geniemaritime.ensta-paristech.fr/images/parcours_genie_maritime.pdf. Mention de l'ingénieur avec ses dates p. 14.

      Almanach impérial pour l'année 1813, Paris : Testu et Cie, 1813, p. 242. (numérisé par Google)

      Annales maritimes et coloniales, Paris : imprimerie royale, 1818, p. 49 ; 1842, p. 1153. (numérisé par Google)

      Annuaire du département de la Manche, 1830-1831, Saint-Lô, 1831, p. 367. (numérisé par Google)

      Site internet La Jaune et la Rouge, revue mensuelle de l'association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique, URL : https://bibli-aleph.polytechnique.fr/F/YDP27BK6BAYJXMPY4EDC3XNUD47Y3TCXD8TYYT1XP4AUMVB5K9-25269?func=full-set-set&set_number=001859&set_entry=000027&format=999.

      Site internet Ministère de la culture, base Léonore, URL : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=LEROUX&NUMBER=45&GRP=1&REQ=%28%28LEROUX%29%20%3aNOM%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=All.

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Date(s) d'enquête : 2006; Date(s) de rédaction : 2010
(c) Région Normandie - Inventaire général
Allavena Stéphane
Allavena Stéphane

Chercheur (Conservateur du patrimoine) à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie de 2005 à 2012, en charge de l'étude sur la ville de Cherbourg-Octeville (Manche).

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Édifice
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Commune : Cherbourg-Octeville