Photographe à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie, puis de Normandie, depuis 2005.
- inventaire topographique, Cherbourg-Octeville
- (c) Région Normandie - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Cherbourg-Octeville - Cherbourg
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Commune
Cherbourg-Octeville
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Adresse
rue des Casernes
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Cadastre
2008
BK
non-cadastré
;
domaine
public
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Dénominationscaserne
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AppellationsBrière-de-l'Isle
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
La construction par le directeur des Travaux hydrauliques Félix-Jean-Baptiste-Joseph Reibell, de la caserne Brière-de-l'Isle, établissement réservé au corps de l'infanterie de marine, débute en 1843 et s'achève en 1848. Forte d'une capacité d'accueil de 460 hommes, à raison de 36 individus par chambre, la caserne principale, occupée depuis la fin du XIXe siècle par le premier régiment d'infanterie coloniale, disparaît dans un incendie le 18 juin 1940 lors de l'occupation de l'arsenal par les troupes allemandes. Le pavillon destiné aux bureaux de l'administration, à l'école, et à l'infirmerie régimentaire, disposé parallèlement à l'ancienne rue des Casernes, est le seul bâtiment à avoir subsisté.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 19e siècle
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Dates
- 1843, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Reibell Félix Jean-Baptiste Josephingénieur civil attribution par sourceReibell Félix Jean-Baptiste Joseph
Sources :
Archives nationales de France consulté le 6 octobre 2017, Ministère des travaux publics, Ingénieurs des Ponts-et-Chaussées (1748-1932), Inventaire-index, cote : F/14/2310/2, URL : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/fonds/edi/sm/sm_pdf/F14%20Ingenieurs%20Ponts.pdf.
Site internet Wikipedia consulté le 6 octobre 2017, URL : https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_Jean-Baptiste_Joseph_Reibell.
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Auteur :
L'ancienne caserne principale était un bâtiment de plan rectangulaire, disposé perpendiculairement à la rue des Casernes. Bâti sur caves, ce dernier était doté d'un rez-de-chaussée réservé au rangement des accessoires et de deux étages surmontés par des combles destinés aux sous-officiers. Contrairement à ses homologues de la guerre, les casernes Proteau et Rochambeau, dont les étages supérieurs étaient voûtés à l'épreuve des bombes, la caserne de l'infanterie de marine ne comportait que de simples planchers assurant la division entre les niveaux et une toiture en charpente. Le pavillon réservé aux bureaux de l'administration est la reproduction, à échelle réduite, de la caserne principale.
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Murs
- calcaire pierre de taille
- granite pierre de taille
- schiste moellon enduit
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Toitsardoise
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Plansplan rectangulaire régulier
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Étages2 étages carrés
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Couvrements
- charpente en bois apparente
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à deux pans
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État de conservationvestiges
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Statut de la propriétépropriété publique
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Intérêt de l'œuvreà signaler
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
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- (c) Région Normandie - Inventaire général
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- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
Chercheur (Conservateur du patrimoine) à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie de 2005 à 2012, en charge de l'étude sur la ville de Cherbourg-Octeville (Manche).
Chercheur (Conservateur du patrimoine) à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie de 2005 à 2012, en charge de l'étude sur la ville de Cherbourg-Octeville (Manche).