Dossier d’œuvre objet IM14006120 | Réalisé par
Billat Hélène (Contributeur)
Billat Hélène

Chercheuse à l'inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie puis de Normandie depuis 2013 : architecture civile et religieuse, patrimoine rural, objets mobiliers civils et religieux étudiés dans le cadre d'inventaires topographiques et ponctuels. Suivi scientifique de l'étude du patrimoine bâti du Parc naturel régional du Perche.

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  • opération ponctuelle, Abbaye aux Dames de Caen
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Normandie - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Caen - Caen-6
  • Commune Caen
  • Adresse place Reine Mathilde
  • Emplacement dans l'édifice rez-de-chaussée de la tour nord-est, mur sud
  • Dénominations
    autel
  • Appellations
    de la Vierge
  • Parties constituantes étudiées

L'autel et la prédelle forment un ensemble hétérogène adossé à la paroi orientale de la chapelle, située au rez-de-chaussée de la tour nord, dont le mobilier n'est pas antérieur à la seconde moitié du 19e siècle. D'après les sources, ces deux objets mobiliers ont été réalisés à une petite dizaine d'années d'intervalle, consécutivement au transfert, en 1865, de la paroisse Saint-Gilles dans l'ancienne église abbatiale de la Trinité qui avait perdu la quasi totalité de son mobilier liturgique. A cet égard, la question de l'ameublement de l'édifice suscite quelques désaccords entre l’Église, soucieuse de rendre à l'église devenue paroissiale son rôle cultuel, et l’État, désireux de ne pas dénaturer la restauration entreprise par un mobilier liturgique qu'il conçoit, par la voix de Victor Ruprich-Robert et de son maître, Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), comme le prolongement de l'édifice auquel il doit adhérer par le style. C'est dans ce contexte de divergences, que Ruprich-Robert s'intéresse de près au mobilier de l'édifice à la fin de la décennie 1850.

L'autel et la prédelle ne sont pas issus du même ciseau. Ils forment l'un des éléments de ce mobilier "criant neuf" qui, selon Fernand et Marthe Engerand, ne mérite guère d'attention quand bien même il aurait été exécuté sur les dessins de Victor Ruprich-Robert par les ateliers les plus en vue de la place de Caen. La prédelle résulte d'un projet de Victor Ruprich-Robert connu par deux dessins, signés et datés du 11 décembre 1876 (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine), la montrant positionnée sur un autel préexistant qui, d'après un courrier de l'architecte en chef des monuments historiques Ernest Herpe (1886-1979), aurait été réalisé vers 1860, vraisemblablement sur le projet (non retrouvé) de Victor Ruprich-Robert. L'autel de style roman, orné d'un fin décor sculpté de pampres et d'anges soulignant la table, pourrait stylistiquement être rattaché à la production de l'atelier des Douin.

En 1936, le prêtre desservant envisage, pour des raisons cultuelles, de transférer l'autel de la Vierge du mur est à la paroi nord de la chapelle, et de créer un tabernacle. Il missionne le sculpteur Robert Douin (1891-1944), fils de Raoul Joseph Douin (1855-1930) et petit-fils de Joseph Douin (1825-1901), qui poursuit la tradition familiale dans l'atelier établi, autrefois rue Royale, au 33 rue de Geôle. Comme l'indique l'entête de son courrier, il est "sculpteur-statuaire attaché à la restauration des Monuments Historiques". Robert Douin expose le projet dans un courrier adressé au ministre de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts le 21 août 1935 consistant en la création d'un tabernacle et de gradins. Le transfert semble assez aisé, l'autel étant simplement "adossé au mur et non liaisonné avec".

Le projet de modification, envisagé dès 1935, est documenté dans les sources conservées à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie. Il est suivi par l'architecte en chef des monuments historiques Ernest Herpe qui dresse un rapport le 29 octobre 1935 et rend un avis le 17 mars 1936. Sur le projet de l'architecte caennais Eugène Duroy (1879-1944), se voit l'autel et la prédelle positionnée sur un gradin dans lequel s'insère un tabernacle. Ces derniers sont exécutés par Robert Douin en mars 1936. Mais le résultat ne satisfait guère E. Herpe : si dans un premier temps l'architecte en chef trouve l'autel dépourvu de valeur historique ou archéologique (rapport du 29 octobre 1935), il temporise ce premier jugement en concédant l'année suivante qu'il "a une certaine allure, ses proportions sont bonnes, son exécution est soignée, il répond à un programme nettement défini et il est difficile de le modifier sans porter une atteinte à ses proportions. Le rétable projeté avec son tabernacle est d'une grande pauvreté. Il fera un très grand contraste avec la partie inférieure de l'autel actuel qu'il doit surmonter. Dans cette circonstance le sculpteur Douin me cause une grande déception ; il est capable de faire mieux et déjà en de nombreuses circonstances il a donné des preuves dans les édifices classés du départements de son talent" (avis du 17 mars 1936). A la suite, Lucien Sallez (1868-1963), inspecteur général des monuments historiques - qui a succédé dans la fonction en 1932 au fils de Victor Ruprich-Robert, Gabriel - rend le 8 avril 1936 un avis favorable au transfert de l'autel sous réserve de maintenir le retable actuel - autrement dit la prédelle - et de renoncer au tabernacle qualifié de "mauvais pastiche gothique".

Le transfert n'a finalement pas eu lieu et l'autel repose toujours à l'emplacement défini lors de sa création, tout comme le bas-relief, conformément au dessein élaboré par Victor Ruprich-Robert en 1876.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 19e siècle
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Ruprich-Robert Victor Marie-Charles
      Ruprich-Robert Victor Marie-Charles

      Victor Marie-Charles Ruprich-Robert naît à Paris le 18 février 1820. Il débute son initiation à l'architecture en 1836 sous la direction de Simon-Claude Constant-Dufeux avant d'intégrer la section "architecture" de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1838. En 1843, il devient le suppléant d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc à l’École nationale et spéciale de dessin pour le cours d'histoire et de composition de l'ornement. En 1847, il adresse une demande au ministre de l'Intérieur pour prendre en charge la restauration des monuments historiques des Landes, du Gers, des Hautes et des Basses-Pyrénées. Dès 1848, il entame une carrière d'architecte diocésain à Bayeux et Séez, puis à Nevers (1857), à Albi et Reims (1877). Il fait partie de plusieurs comités et commissions : auditeur de la Commission des arts et édifices religieux (1849), rapporteur auprès du Comité des édifices paroissiaux (1853), rapporteur près le comité des inspecteurs généraux des édifices diocésains (1855). A compter de 1859, il est professeur d'ornement à l’École nationale et spéciale de dessin, poste précédemment occupé par Viollet-le-Duc. Théoricien de l'architecture, il publie de nombreux ouvrages et est un collaborateur régulier de la Revue générale de l'architecture et des travaux publics de 1849 à 1886. Dessinateur du mobilier de la Couronne (1859-1870), il participe au remeublement de la galerie François Ier et du vestibule de la chapelle du château de Fontainebleau (1860). Il conçoit le trône impérial exposé à l'Exposition universelle de 1867. En 1870, il prend la direction de l'atelier de Constant-Dufeux. Membre de la commission des monuments historiques dès 1873, il est nommé inspecteur général en 1873. Membre de nombreuses associations, sociétés et académies, il est directeur de la Société des antiquaires de Normandie en 1881 et est habilité à diriger les fouilles dans les arènes de Lutèce en 1883.

      L'église de la Trinité de Caen constitue son premier chantier de restauration (1854-1868), qu'il mène parallèlement à la construction de la chapelle de l'Immaculée Conception du petit séminaire de Séez. Récompensé à l'Exposition universelle de 1855 (médaille de 2e classe), il enchaîne les projets de construction d'églises (Saint-Jean-Baptiste de Flers, 1858-1864; Athis, 1859) et de restauration d'édifices civils et religieux (église d'Autheuil, 1863-1881; château de Falaise, 1864-1870; lycée Henri IV, 1866-1873 ; église de l'abbaye Saint-Étienne de Caen, 1867-1883 ; maître-autel du Val-de-Grâce, 1868-1870 ; tour du château d'Oudon, 1870-1886 ; salle des États du château d'Amboise, 1873-1879 ; église Saint-Martin d'Argentan, 1874 ; église d'Ouistreham, 1876-1878 ; abbaye-aux-Bois de Paris, 1877).

      Source consultée en 2019 :

      -site internet de l'INHA, Dictionnaire critique des historiens de l’art actifs en France de la Révolution à la Première Guerre mondiale, Philippe Sénéchal et Claire Barbillon (dir.), https://www.inha.fr/fr/ressources/publications/publications-numeriques/dictionnaire-critique-des-historiens-de-l-art/ruprich-robert-victor.html

      -site internet de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine Charenton-le-Pont, base AUTOR, http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/autor_fr

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Entreprise Jacquier (1874 - 1907)
      Entreprise Jacquier

      Source consultée le 2 octobre 2020 :

      -LUIS, Emmanuel. Les jacquier, une entreprise familiale au service de la sculpture et de l'art funéraire à Caen, https://expositions-virtuelles.normandie.fr/famillejacquier/webdoc.html

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      sculpteur (incertitude), attribution par analyse stylistique
    • Auteur :
      Duroy Eugène
      Duroy Eugène

      La carrière de l'architecte Eugène Duroy se déroule en grande partie dans la ville de Caen où il est né en 1879. Dès 1916, il y dirige le cabinet d'architecture situé rue de Geôle à la suite d’Édouard Piotin. Durant l'entre-deux-guerres, il s'intéresse à l'architecture balnéaire en plein essor. A ce titre, il réalise les plans de nombreuses villas du littoral calvadosien, notamment à Ouistreham dont il érige également le casino. Il participe à la restauration et à la construction de plusieurs édifices cultuels (les églises Saint-Jean-Eudes de Caen et Saint-Sauveur de Condé-sur-Noireau, la chapelle Notre-Dame-des-Dunes d'Ouistreham) tout en construisant des bâtiments publics (gare, école, orphelinat). Au décès de son père, survenu le 6 juin 1944, son fils François Duroy ingénieur ne reprend pas le cabinet dont le fonds a été déposé aux archives départementales du Calvados (sous-série 97J) en 2008. Dossiers de construction et d'aménagement, plans, photographies et cartes postales documentent bien l'activité d'Eugène Duroy dans l'entre-deux-guerres dont certaines réalisations ont disparu depuis sous les bombardements de 1944, comme l'église de Condé-sur-Noireau.

      Sources consultées le 28 mai 2021:

      -site internet des Archives départementales du Calvados, https://archives.calvados.fr/ark:/52329/97h5vk23cmwr

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Douin Robert
      Douin Robert

      Robert Raoul Charles Joseph Douin est né à Caen le 4 juillet 1891 de Raoul Joseph Douin sculpteur et de Maria Anna Maier. Il réside rue de Geôle à Caen. Il se marie une première fois le 27 mars 1916 avec Marie Langlois, après avoir servi sous les drapeaux dès le 1er octobre 1912, au sein du 36e R.I. puis durant la première Guerre mondiale, dont il reviendra grièvement blessé en 1915. Il se remarie en 1923 avec Marie Gosset. Suivant les pas de son père, il devient sculpteur, professeur et directeur de l'école municipale des beaux-arts de Caen en 1930. Il met son talent au service de la République et des monuments historiques normands. En 1936, il remporte le prix pour le buste de Marianne qui trône encore dans de nombreuses mairies normandes et dont il existe une reproduction en plâtre à Bruz (Ille-et-Vilaine). Patriote, il crée un monument commémoratif aux poilus caennais - à l'état de vestiges et connu par un dessin et une photographie de la maquette - installé dans l'enceinte du château de la ville en 1938.

      Fin 1940, il entre dans la résistance en adhérant à l'organisation "l'Armée des Volontaires". En février 1942, il rejoint le réseau de renseignements militaires "Alliance" dont il devient le chef du secteur de Caen sous le pseudonyme "Civette". Tout en continuant son activité professionnelle pour les monuments historiques, il dresse intégralement les plans des fortifications allemandes implantées sur la côte calvadosienne pour les envoyer à Londres. Dans le même temps, il œuvre au sein du réseau "Centurie". Le 17 mars 1944, il est arrêté sur un chantier à proximité du stade Hélitas à Caen et sommairement fusillé le jour du débarquement allié le 6 juin 1944 dans une cour de la maison d'arrêt de Caen avec plus de 60 autres résistants dont les corps n'ont pas encore été retrouvés. Une association des amis de Raoul et Robert Douin, sculpteurs, anciens professeurs de l’école municipale des beaux-arts de Caen a été créée le 3 février 1951. Une plaque commémorative aux noms de Raoul et Robert Douin a été inaugurée à l'entrée du cimetière Saint-Nicolas de Caen le 9 juillet 1960. Un square du quartier Saint-Gabriel porte leurs noms. Robert Douin dessine et peint, notamment des édifices emblématiques de la ville de Caen comme la maison des Quatrans.

      Sources consultées le 28 mai 2021:

      -site internet des Archives départementales du Calvados, Notice sur Robert Douin, https://archives.calvados.fr/page/robert-douin

      -site internet France Archives, Archives départementales du Calvados, 42 Fi, https://francearchives.fr/fr/facomponent/9481eeba55b7b99c49d5b97e6f4f3f8dc7a4f89d

      -site internet Ouest-France, Brêteau, Sébastien, "Robert Douin, de la guerre 14 au 6 juin 1944", 11 novembre 2015, https://www.ouest-france.fr/normandie/robert-douin-de-la-guerre-de-14-au-6-juin-44-3837517

      -site internet du Musée de Normandie, La caserne Lefèbvre, https://musee-de-normandie.caen.fr/le-chateau-de-caen/la-caserne-lefebvre

      -site internet Mémoire normande / La Fabrique de patrimoines en Normandie - Normandie Images, Projet du Monument aux Morts de la Première Guerre mondiale de Robert Douin, https://www.memoirenormande.fr/M%C3%A9dias-Projet-du-Monument-aux-morts-de-la-Premi%C3%A8re-Guerre-mondiale-de-Robert-Douin-614-62909-258-1.html?ref=44464c972d046669874ff1b7948069c0

      -site internet de l'Inventaire du patrimoine culturel de Bretagne, http://patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/buste-sur-piedestal-marianne/2bde0785-540f-4869-96f3-8deb0cd2a081

      -site internet Fusillées 1940-1944, https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article185798

      -site internet Association L'Alliance, http://www.reseaualliance.org/pages/biographie-des-membres/robert-et-remy-douin.html

      -site du Journal Officiel, p. 1512, https://www.journal-officiel.gouv.fr/document/verification/associations_b_archive/195100370042

      -site internet de la Préfecture du Calvados, Rémy Douin [fils de Robert Douin], orphelin de guerre, http://www.calvados.gouv.fr/remy-douin-orphelin-de-guerre-a5091.html

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      sculpteur attribution par source

L'autel rectangulaire adossé comprend une table reposant sur cinq supports circulaires et un massif postérieur relié au support central.

  • Catégories
    taille de pierre, sculpture
  • Structures
    • élévation, droit
    • plan, rectangulaire
  • Matériaux
    • calcaire, taillé, décor dans la masse, décor en bas relief
  • Mesures
    • h : 97 centimètre
    • la : 239 centimètre
    • pr : 92,5 centimètre
  • Précision dimensions

    Largeur de la table d'autel = 189 cm.

  • Iconographies
    • pampre, ornementation
    • ange
  • Précision représentations

    L'autel est orné d'un décor de pampres sur le chapiteau de la colonne centrale et sur la bordure de la table d'autel interrompue en son centre par deux anges portant un écusson dépourvu de motifs.

  • État de conservation
    • bon état
    • manque
  • Précision état de conservation

    État en 2013 : manque au niveau de la table d'autel. Brisures localisées sur les supports dextre de la table d'autel.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • Médiathèque de l'architecture et du patrimoine Charenton-le-Pont. 0081/014/0027. Restauration d'édifices du Calvados, série générale, Caen, église de la Trinité : correspondance, travaux (subventions, crédits), restauration, mise en place d'un beffroi (tour lanterne), aménagement du chœur, dommages de guerre, 1825-1994.

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Paris : 0081/014/0027

Bibliographie

  • ENGERAND, Fernand et Marthe. Les Trésors d'art religieux du Calvados. Tome 1 : Caen et l'arrondissement de Caen. Caen : Marigny et Joly, 1940.

    Bibliothèque universitaire - Droits-Lettres - Fonds Normand, Caen : N RB I a 8516 . BUDL. DLFDN
    p. 23.

Documents figurés

  • Plans d'édifices du Calvados : ancienne abbaye aux Dames à Caen, église de la Trinité, collection Ruprich-Robert, tirage et dessins au crayon, lavis, à l'encre sur papier, sur calque, par Victor et Gabriel Ruprich-Robert, architectes, 1856-1911 (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont ; 0082/014/2056).

    Médiathèque du patrimoine et de la photographie, Charenton-le-Pont : 0082/014/2056
    n°025491(65) : Eglise Ste Trinité : autel S. Gilles : profil, coupe sur l'axe, échelle 0,05 p.m., aquarelle et encre sur papier, Victor Ruprich-Robert, 11, décembre 1876 ; n°025491(66) : Eglise Ste Trinité à Caen : autel St-Gilles sous la tour N-O : plan, élévation, détails à 0,05 p.m., encre et aquarelle sur papier, Victor Ruprich-Robert, 11 décembre 1876.
Date(s) d'enquête : 2013; Date(s) de rédaction : 2014
(c) Région Normandie - Inventaire général
Billat Hélène
Billat Hélène

Chercheuse à l'inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie puis de Normandie depuis 2013 : architecture civile et religieuse, patrimoine rural, objets mobiliers civils et religieux étudiés dans le cadre d'inventaires topographiques et ponctuels. Suivi scientifique de l'étude du patrimoine bâti du Parc naturel régional du Perche.

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