Photographe à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, de 1975 à 2021.
- patrimoine industriel, patrimoine industriel de la vallée de la Basse-Seine
- inventaire topographique, Le Havre agglomération
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Total
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Le Havre agglomération
-
Hydrographies
canal de Tancarville
la Seine
-
Commune
Gonfreville-l'Orcher
-
Lieu-dit
Les Côtes Blanches,
-
Adresse
avenue des Côtes Blanches
,
chemin des Erables
,
chemin de Saint-Dignefort
-
Cadastre
2008
AK
;
2008
AO
-
Dénominationscité ouvrière
-
Précision dénominationcité du personnel d'urgence de la raffinerie de Normandie
-
Appellationscité des Côtes Blanches
-
Dossier dont ce dossier est partie constituante
-
Parties constituantes non étudiéeslogement de contremaître, maison, immeuble à logements
Parallèlement à l'installation de la raffinerie, la Compagnie Française de Raffinage lance, dès 1932, la construction de la petite cité des Côtes-Blanches sur la pente de la falaise qui borde le canal de Tancarville au nord. Elle comprend alors vingt-six maisons jumelées destinées au personnel des services d'urgence et d'encadrement ainsi qu'un hôtel de 59 chambres pour les célibataires, servant également de siège aux associations de la CFR.
Pour faire face à la pénurie de logements, une extension est réalisée en 1947 : 35 maisons jumelées sont construites auxquelles s'ajoutent cinq pavillons implantés plus à l'ouest au lieu-dit le Caridroit.
L'hôtel des célibataires est détruit en 2003.
-
Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par travaux historiques
-
Dates
- 1933, daté par travaux historiques
- 1947, daté par travaux historiques
-
Auteur(s)
-
Personnalité :
Compagnie Française de Raffinagepropriétaire, commanditaire attribution par travaux historiquesCompagnie Française de RaffinageCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
-
Personnalité :
Toutes les maisons qui constituent la cité des Côtes Blanches sont des maisons jumelées d'un étage construites en rez-de-chaussée surélevé en parpaing de béton. Certaines présentent des éléments de style régionaliste (faux pan de bois à l'étage), les autres des volumes caractéristiques de l’habitat traditionnel (toits à longs pans et demi croupe). L’hôtel des célibataires aujourd'hui disparu était construit sur deux étages et un étage de comble suivant un axe de symétrie et présentait également des volumes caractéristiques de l'habitat traditionnel (chiens-assis, toits à longs pans et demi croupe…).
-
Murs
- béton parpaing de béton
-
Toitstuile mécanique
-
Étagesrez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
-
Élévations extérieuresélévation à travées
-
Couvertures
- toit à longs pans demi-croupe
-
Typologies
-
Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Total
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Total
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Total
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Total
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Région Normandie - Inventaire général
Périodiques
-
RINGUENET, Didier. Le commerce de l’industrie du pétrole au Havre des origines aux événements de Suez (1861-1956). In: Études Normandes, 24e année, n°285, 1975. pp. 1-28.
p. 16, 22
Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.
Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.