Dossier d’œuvre architecture IA61002181 | Réalisé par
Maillard Florent (Contributeur)
Maillard Florent

Chercheur associé au Parc naturel régional du Perche depuis 2011, en charge de l'étude et de la valorisation du patrimoine bâti.

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Chéron Philippe (Contributeur)
Chéron Philippe

Chargé d'études à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1991. Ingénieur d'études (DRAC Haute-Normandie jusqu'à la loi de décentralisation), puis ingénieur et ingénieur principal, Région Normandie.

Spécialités : vitrail (correspondant du centre Chastel pour la Haute-Normandie), patrimoine rural, construction navale, patrimoine militaire (fortifications du mur de l'Atlantique dans le cadre du PCR mur de l'Atlantique), patrimoine aéronautique, patrimoines commémoratifs.

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  • enquête thématique régionale, architecture rurale du Parc naturel régional du Perche
  • enquête thématique régionale, monuments et objets en lien avec la guerre de 1870-1871
monument aux morts de la guerre de 1870
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Parc naturel régional du Perche
  • (c) Région Normandie - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Parc naturel régional du Perche - Tourouvre
  • Commune Longny-au-Perche
  • Lieu-dit cimetière le Bourg
  • Adresse rue du docteur Boulay
  • Cadastre 2021 AC 1
  • Précisions nouvelle commune Longny-les-Villages
  • Dénominations
    monument aux morts
  • Appellations
    de la guerre de 1870-1871
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante

RELU PAR CLAIRE / PHOTOS A FAIRE

Ce monument a été érigé en 1896 en mémoire du commandant Mathieu, chef du 2e bataillon des Mobiles de l'Orne, et de soldats du canton de Longny-au-Perche, morts des suites du combat de Bretoncelles (21 novembre 1870) et décédés à l'ambulance de Longny.

Une plaque additionnelle, posée en mai 2022, précise qu'en 1870 de nombreux soldats atteints de la variole noire furent hospitalisés à la communauté des Dames de Marie de Longny-au-Perche. C'est en les soignant que Denis Achille Genty (1826-1870), avocat, homme de lettres et érudit, contracta lui-même la maladie et en mourut.

L'obélisque a été restauré au ciment au 3e quart du 20e siècle. Dans ses Souvenirs de jeunesse et mémoire historique sur Moulicent parus en 1909, l’abbé Godet, précise que la fonderie de Rainville a d'abord été chargée de fabriquer les deux canons pour la garde nationale de Longny. Mais lors des essais, les canons volèrent en éclats, du fait d'un défaut technique. Leur fonte a été confiée à l’entreprise Landou située à L’Aigle (Orne). Ils ornent désormais le monument.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 19e siècle
  • Dates
    • 1896, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur : entrepreneur attribution par source
    • Personnalité :
      Gentil Denis-Achille
      Gentil Denis-Achille

      Avocat, érudit, homme de lettres.

      Ouest-France 14 mai 2022 :

      Denis Achille Genty est né en 1826 à Verneuil-sur-Avre. Il fut d’abord avocat à Mortagne, puis homme de lettres reconnu. Érudit dans tous les domaines, Il publia environ une dizaine d’ouvrages et fut également rédacteur des notices scientifiques de La Gazette de France. Il traduisit du percheron en français les poèmes de son grand-père, maréchal-ferrant, et démontra que l’idiome percheron était probablement l’équivalent de la langue primitive française. Mais il aurait voulu être médecin, alors sur le tard il étudia la médecine humaine et vétérinaire jusqu‘à inventer un médicament pour les chiens. Il eut l’occasion d’exercer la médecine en soutenant les religieuses de la communauté des Dames de Marie, à Longny-au-Perche, en soignant les soldats de la guerre de 1870, victimes de la variole noire. Malheureusement, en leur portant secours, il contracta cette maladie et mourut juste avant ses 44 ans, le 11 décembre 1870, à Longny-au-Perche, riche d’un parcours exceptionnel.

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      habitant célèbre attribution par source
    • Personnalité :
      Mathieu Léon-Constant , dit(e) Mathéus
      Mathieu Léon-Constant

      Commandant, chef du 2e bataillon des mobiles de l'Orne, blessé mortellement à la bataille de Bretoncelles (Orne).

      Notice biographique, in La guerre franco-allemande de 1870-1871 dans L'Orne, éditée à l'occasion du 150e anniversaire par le Souvenir français

      A 23 ans, il quitte son pays natal pour venir en France. En débarquant à Brest le 4 mars l845, il se rend à la mairie où il s’engage au 17e régiment d’infanterie légère. Dix mois plus tard, le 28 janvier 1846, il décroche les galons de caporal. Le 29 novembre 1846 une première décision ministérielle l’envoie comme gendarme à pied aux Iles Saint-Pierre et Miquelon, et une seconde le 20 juin 1849, l’incorpore à la compagnie de gendarmerie à cheval de la Guadeloupe.

      Le 18 août 1852, Mathieu passe à la Légion d’Afrique, où il reste près de deux ans. La guerre d’Orient éclate et il est, le 24 février 1854 détaché à la maréchaussée du corps expéditionnaire de Crimée, qu’il rejoint le 6 avril. La campagne terminée, Mathieu revient en France et est incorporé, le 7 mars 1855, à la compagnie de gendarmerie de Seine-et-Oise, où il est nommé brigadier à cheval le 26 décembre 1856, puis maréchal des logis adjoint au trésorier 31 août 1861. Il conserva cette dernière fonction jusqu’à sa retraite survenue le 3 mars 1868. Rendu à la vie civile, Mathieu, qui est marié et père de deux filles, entre en qualité de régisseur, chez un industriel des environs de Paris. La guerre éclate, la Capitale est investie. Mathieu vient avec sa famille et une partie du matériel dont il a la gérance, d’abord à Chartres, puis à Longny. Les événements se précipitent, on appelle sous les drapeaux tous les célibataires de 21 à 40 ans les « mobilisés » : et Mathieu, dès son arrivée à Longny, n’hésite pas une minute à mettre ses services à la disposition du Gouvernement de la Défense nationale.

      Élu le 25 octobre 1870, capitaine de la 2e compagnie, (Mobilisés du canton de Longny) du, 2e Bataillon des Mobilisés de l’Orne, il est, huit jours plus tard élevé au grade de commandant de ce même bataillon (La Garde nationale mobilisée de l’Orne formait un effectif d’environ 5 500 hommes. Elle était divisée en 10 Bataillons formant 3 Légions). Et chargé plus spécialement, par le Préfet et le chef d’escadron de gendarmerie Lemaitre, organisateurs des forces militaires dans l’Orne, de préparer la défense du département à sa limite avec l’Eure-et-Loir. Mathieu se met résolument à la besogne et, tout en organisant son Bataillon, qui comprend notamment les compagnies de Longny, Mortagne, Nocé et Regmalard, il étudie avec beaucoup d’ardeur les points qu’il convient de défendre. C’est du 24, au 3l octobre que les mobilisés de l’Orne sont convoqués pour la formation des compagnies. Le 13 novembre, Mathieu, est appelé à Alençon, ou sa grande taille, son teint basané et son air martial produisent la meilleure impression.

      Il rend compte, quelques jours après, dans un premier rapport adressé à « M. le Chef d’Escadron, commandant supérieur de la Défense du département de l’Orne », de la mission qu’on lui a confiée : « Mes hommes, dit-il, bien qu’armés de fusils dont les aiguilles et les ressorts laissent à désirer au point que j’ai dû en faire retremper un grand nombre, bien que n’étant pas encore pourvus de tous les objets nécessaires au campement, se sont cependant rendus avec enthousiasme aux différents points qui leur ont été désignés (Ces points étaient : Marchainville (Cie de Longny) ; Étang de Vaugelay et Feillet (Cie de Mortagne) ; Étang des Personnes (Cie de Nocé et Regmalard) et tout me fait espérer que, d’ici peu, j’aurai sous la main un bataillon bien discipliné et prêt à marcher en avant. »

      Près de huit jours s’écoulent durant lesquels l’armée du grand-duc de Mecklembourg, qui s’est concentrée vers Chartres, s’avance, méthodiquement et sûrement dans la direction du Mans, en suivant la ligne Paris-Brest et la vallée de l’Huisne. Mathieu s’inquiète de ne pas recevoir d’autre ordre que celui de disputer aux Prussiens, avec sa poignée de Mobilisés, l’entrée du Perche de la Madeleine-Bouvet à Neuilly-sur-Eure. Dans une lettre du 20 novembre 1870, écrite en termes énergiques, il demande à M. Henry Chartier, sous-préfet de Mortagne, de bien vouloir lui donner des « ordres impératifs » en vue de l’attaque probable du lendemain. Les Prussiens se massent derrière la forêt de Senonches et vers la Loupe. Un Bataillon de Mobiles de Finistère et Morbihan vient d’arriver à la Madeleine-Bouvet, le commandant de la Ferronnays avec son bataillon de mobiles et ses chasseurs à pied occupe, depuis quelques heures seulement, Bretoncelles, où il attend un bataillon d’infanterie de marine. Et, comme soutien de ces forces éparpillées sur une étendue de terrain de 6 kilomètres, les seuls mobilisés de Mathieu campés à Marchainville; à l’étang des personnes et à Feillet !...

      Conscient de sa responsabilité, Mathieu se rend à la Madeleine-Bouvet pour contacter le bataillon des Mobiles bretons, fort d’environ 1 200 hommes. Le capitaine Rigalleau qui commande ce bataillon lui donne l’assurance que tous les postes sont bien gardés et que ses hommes se disposent à la résistance. Toutefois il informe Mathieu qu’il manque de cartouches pour fusils chassepot, et celui-ci télégraphie au sous-préfet de Mortagne pour lui demander d’y pourvoir. Puis Mathieu revient sur Longny, le sous-préfet de Mortagne, au reçu de la dépêche, s’est empressé d’expédier une voiture de cartouches escortée par un gendarme et dans la nuit le convoi arrive à Longny. A 5 h du matin, Mathieu prend la route de la Madeleine-Bouvet avec la voiture de munitions escorté par 25 francs-tireurs, avec l’intention, après avoir livré les munitions, de se diriger vers l’étang des personnes pour inspecter le poste qui s’y trouve. Arrivé à destination, il remet les munitions au commandant du bataillon des mobiles du Finistère et Morbihan et reçoit, de cet officier supérieur, la confirmation que tous les postes sont gardés par un nombre d’hommes suffisant pour parer à tout évènement. Après avoir laissé un instant de repos à sa troupe, guidé le capitaine de Garde nationale sédentaire de la Madeleine-Bouvet, Mathieu se met en marche avec sa troupe en direction de l’Étang-des-Personnes, distant d’environ deux lieues de la Madeleine, ils doivent pour cela franchir la barricade des Déserts qu’ils pensent tenue par les Mobiles bretons. Si la fusillade s’entend dans le lointain, pas un coup de fusil n’a encore été tiré dans le secteur de la Madeleine. Après une demi-heure de marche, dans la plus entière confiance ils arrivent en vue de la barricade. Tout à coup le commandant Mathieu, qui est à pied et armé d’une carabine, se tourne vers ses hommes en disant : « Tenez, les voyez-vous !... Attendez un peu et je vais vous montrer comment on tire sur des Prussiens !... » En effet il vient d’apercevoir les casques à pointe de soldats embusqués dans un taillis environnant la maisonnette de la Châtellerie et la barricade des Déserts. Cette dernière occupée dans la matinée par les Mobiles bretons, avait été abandonnée par eux. Mathieu qui se trouve à vingt mètres, lâche un premier coup de feu, une décharge formidable lui répond. La troupe se jette dans le taillis. Mathieu est blessé une balle lui a brisé la jambe droite, au niveau du genou, et on comptera plus de dix trous dans les pans de son manteau.

      Les francs-tireurs veulent l’emporter, il refuse et leur donne l’ordre de décrocher. Il sera capturé par l’ennemi et après les premiers soins sera évacué sur Dreux ou il décèdera. Après l’affaire de la Madeleine -Bouvet, le commandant Mathieu, sera élevé au grade de lieutenant-colonel de la 3e Légion des Mobilisés de l’Orne. Il est décoré de ses médailles de campagnes mais surtout de la médaille militaire, le 13 août 1863 et de la croix de chevalier de la Légion d’Honneur 12 août 1866.

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      habitant célèbre attribution par source

Le monument aux morts de la guerre de 1870 se situe dans le cimetière, à proximité de la chapelle Notre-Dame de Pitié. Il se compose d’un obélisque de section carrée flanqué de deux canons de campagne en fonte. Initialement en pierre, l'obélisque, aujourd'hui enduit de ciment porte, sur sa face principale, deux plaques de marbre, postérieures de plusieurs décennies au monument, sur lesquelles sont listés les noms de soldats morts pour la France.

Canons : Le calibre semble correspondre à des pièces de 8 (106,1 mm), non rayées, en fonte de fer. Les inscriptions partiellement lisibles portées sur les deux pièces indiquent leur lieu de fabrication : la fonderie Landou à L’Aigle. On relèvera la position étrangement reculée des anses par rapport aux tourillons, situés par ailleurs inhabituellement bas pour des pièces de campagne. Ce défaut révèle sans doute un manque d'expérience de la fonderie, peu habituée à répondre à ce type de commande et ne bénéficiant pas de bons modèles de référence.

inscriptions :

plaque en marbre, face principale, partie haute :

A / LA MEMOIRE / DU / COMMANDANT MATHIEU / ET DES / ENFANTS DU CANTON / DE / LONGNY / MORTS POUR LA PATRIE

plaque en marbre, face principale, partie basse :

HONNEUR / PATRIE / HOMMAGE / RENDU PAR LA COMMUNE DE LONGNY / A LA MEMOIRE DES SOLDATS BLESSES AU COMBAT DE BRETONCELLES / LE 21 NOVEMBRE 1870 / MORTS A L'AMBULANCE DE LONGNY / ET INHUMES DANS DE CIMETIERE

DESSUS JULES JEAN MARTIAL / SERGENT DES MOBILES DE LA CORREZE / NE A UZERCHES LE 10 JUILLET 1847 / MORT LE 23 NOVEMBRE 1870

SALOMON JEAN SIMEON / DES MOBILES DE LA CORREZE / NE A LISSAC LE 15 FEVRIER 1846 / MORT LE 24 NOVEMBRE 1870

CHARPENTIER JULES FRANCOIS / DES MOBILES DE L'EURE ET LOIR / NE A THEMERT LE 21 FEVRIER 1846 / MORT LE 25 NOVEMBRE 1870

BEAU PIERRE / DES SAPEURS DU GENIE / NE A ST EMILION LE 20 JANVIER 1849 / MORT LE 27 NOVEMBRE 1870

JARGOT JEAN / DES MOBILES DE LA CORREZE / NE A ST SULPICE LES BOIS / LE 9 AVRIL 1849 / MORT LE 3 DECEMBRE 1870

TORTISSIER BENJAMIN / DES FRANCS ECLAIREURS DE L'ARMEE / NE A REUILLY LE 17 OCTOBRE 1832 / MORT LE 9 DECEMBRE 1870

LE DU JEAN FRANCOIS / DES MOBILES DU FINISTERE / NE A LEUHAY LE 12 AOUT 1849 / MORT LE 19 AOUT 1871

PRIEZ POUR EUX

canon nord, flanc gauche : [illisible, possiblement mention de l'auteur et du lieu de fabrication] ; A FRINOS

canon nord, flanc droit : VAUGROIS

canon sud, flanc gauche : SIOE[E retourné]QUAV

canon sud, flanc droit : FIENGS ; LAUDOU [sic] A L'AIGLE ; 1870

  • Murs
    • calcaire pierre de taille
    • ciment enduit
  • État de conservation
    bon état
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Sites de protection
    site patrimonial remarquable

Une douzaine de monuments aux morts de la guerre de 1870-1871 ont été érigés dans le département de l’Orne. Celui de Longny est le seul existant dans le Perche. À ce titre, il revêt un intérêt patrimonial important.

Bibliographie

  • DES MOUTIS, lieutenant-colonel. Mémoires sur l'armée de Chanzy ; Le 49e régiment des mobiles de l'Orne, 1870-1871, Imprimerie de E. de Broise (Alençon), 1872.

    chapitre onzième, Combat de Bretoncelles, 21 novembre 1870, pp.79-84.
  • PITARD P. Garde mobile de l'Orne. 4e bataillon. Campagne 1870-1871 ex-adjudant sous-officier du bataillon, typographie et librairie Daupeley frères, 1872.

    pp.16-21
  • Délégation Générale du Souvenir Français de l’Orne. La guerre Franco-allemande de 1870-1871 dans l'Orne, brochure réalisée pour le 150e anniversaire de la guerre de 1870, 2021.

    p.45

Périodiques

  • QUIBLIER, André. Regards sur la métallurgie dans le Perche – Histoire du moulin de Rainville et de la forge de Longny. Cahiers Percherons, 2015, n°202.

    p. 21
  • COLLECTIF. La guerre de 1870 dans le Perche, in Cahiers Percherons, n° 222-223, Fédération des Amis du Perche - Eure-et-Loir - Loir-et-Cher et Sarthe - Orne ; 2e et 3e trimestre 2020.

Annexes

  • Vincent Guerrier, Le canton de Rémalard dans la guerre 1870-1871, article paru dans le journal Le Perche, 19 novembre 2020.
  • MATHIEU, dit Mathéus, Léon-Constant
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2021, 2023
(c) Parc naturel régional du Perche
(c) Région Normandie - Inventaire général
Maillard Florent
Maillard Florent

Chercheur associé au Parc naturel régional du Perche depuis 2011, en charge de l'étude et de la valorisation du patrimoine bâti.

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Spécialités : vitrail (correspondant du centre Chastel pour la Haute-Normandie), patrimoine rural, construction navale, patrimoine militaire (fortifications du mur de l'Atlantique dans le cadre du PCR mur de l'Atlantique), patrimoine aéronautique, patrimoines commémoratifs.

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