Dossier d’œuvre objet IM14006139 | Réalisé par
Billat Hélène (Contributeur)
Billat Hélène

Chercheuse à l'inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie puis de Normandie depuis 2013 : architecture civile et religieuse, patrimoine rural, objets mobiliers civils et religieux étudiés dans le cadre d'inventaires topographiques et ponctuels. Suivi scientifique de l'étude du patrimoine bâti du Parc naturel régional du Perche.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • opération ponctuelle, Abbaye aux Dames de Caen
ensemble de 7 chapiteaux et base de colonne du dépôt lapidaire de la Société des Antiquaires de Normandie, bâtiment conventuel de l'abbaye de la Trinité dite abbaye aux Dames, actuellement hôtel de région
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Normandie - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Caen - Caen-6
  • Commune Caen
  • Adresse place Reine Mathilde
  • Emplacement dans l'édifice vestibule, 1er étage, aile ouest

L'ensemble, comprenant 7 chapiteaux et une base de colonne, appartient aux collections lapidaires de la Société des Antiquaires de Normandie, déposées depuis 1983 au Musée de Normandie qui a autorisé dès 2005 son exposition dans les anciens bâtiments conventuels de l'abbaye de la Trinité, siège de la Région Normandie.

Si la constitution de ce dépôt lapidaire doit être mieux documenté (dates de dépose, localisation dans l'édifice, motivations), sa présence au sein des collections de la Société des Antiquaires de Normandie (SAN) s'explique par les opérations de restauration successives menées au 19e siècle dans l'ancienne église abbatiale de la Trinité et par le rôle et les missions de l'association fondée en 1824.

Comme le rappelle Maylis Baylé dans son ouvrage sur la Trinité de Caen (1979), les sources du 19e siècle documentent peu les interventions sur le décor porté de l'église de la Trinité. Lors des travaux menés sous la direction de l'architecte Emile Guy (1825-1837), plusieurs chapiteaux ont été déposés, sans que l'on en connaisse l'emplacement exact dans l'édifice. Ce fait est relaté dans un courrier d'Emile Boeswillwald du 7 janvier 1862, mentionné par Maylis Baylé (note 2, p. 153), qui affirme que les chapiteaux déposés ont été remplacés par des copies réalisées après 1850, sans doute lors des travaux ultérieurs conduits par l'architecte Victor Ruprich-Robert (1854-1868). Celui-ci a abordé la restauration du décor porté d'une manière différente de son prédécesseur en tentant de conserver le plus grand nombre de chapiteaux in situ sur lesquels ont été pratiquées, pour les plus abîmés d'entre eux, des retailles et des incrustations mais aussi des regrattages pour harmoniser les surfaces, ce que Maylis Baylé a pu relever en analysant chaque élément du corpus. Cependant, les pièces du dépôt lapidaire, y compris celles déposées dans les bâtiments conventuels de l'ancienne abbaye de la Trinité, n'ont pas fait l'objet d'une analyse aussi détaillée par Maylis Baylé.

C'est sans doute au cours des deux chantiers menés par Emile Guy et Victor Ruprich-Robert, que la Société des Antiquaires de Normandie a recueilli les éléments de décor et de supports déposés, dans le cadre de ses missions d'étude archéologique des monuments de la région. Conformément aux statuts de l'association, chaque membre était invité à relever l'existence d'éléments architectoniques, de les documenter et de proposer des solutions pour assurer leur conservation. Comme le rappelle Jean-Yves Marin dans un article consacré aux collections de la SAN (1987), l'association a accueilli des pièces lapidaires dès sa création avant d'ouvrir un musée en 1860 dans l'ancien collège du Mont qui a abrité les moulages, la collection lapidaire personnelle d'Arcisse de Caumont et le dépôt lapidaire propriété de la Ville de Caen. Les problèmes de gestion et le bombardement de 1944 ont rendu la compréhension de ces collections difficiles jusqu'aux travaux menés par le Musée de Normandie (Caen). Deux inventaires réalisés en 1973 et 1992 en ont dressé un descriptif précis avec leur état de conservation et leur datation. Ils émettent également des hypothèses sur leur emplacement initial dans l'église par comparaison avec ceux restés in situ. Plusieurs chapiteaux exposés à l'abbaye proviennent des parties hautes de l'édifice dont le décor a été davantage retouché. Par exemple, le chapiteau à décor de godrons concaves (DSAN.83.1218.13) viendrait de la galerie de circulation du bras nord du transept. Il est reproduit (fig. 202 pl. LXII) par Maylis Baylé qui le référence dans son catalogue sous le n° TH 20 et à la note 19 p. 133. Le remarquable chapiteau d'angle orné d'une tête d'animal stylisée (DSAN. 83.1218.2) résulte d'un don personnel d'Arcisse de Caumont à la Société des Antiquaires de Normandie mais le lieu de son implantation initiale n'est pas connu.

  • Période(s)
    • Principale : 1ère moitié 12e siècle
    • Secondaire : limite 11e siècle 12e siècle
  • Auteur(s)
    • Personnalité :
      Caumont Arcisse de
      Caumont Arcisse de

      Né à Bayeux le 20 août 1801, au sein d'une famille récemment anoblie, Arcisse de Caumont mène de brillantes études au collège de Falaise puis, dès 1817, au collège de Bayeux. Bachelier en 1822, il étudie à Caen à la faculté de droit, dont il est licencié en 1824, ainsi qu'à celles de lettres et de sciences. L'homme se passionne pour de nombreux domaines, le droit, l'histoire, l'archéologie, l'agronomie et la zoologie. Très jeune, il fréquente les cercles savants en pleine émulation, notamment à Paris où il croise des personnalités comme l'antiquaire Du Sommerard, mais aussi les salons de Cuvier et d'Alexandre Brongniart. Il contribue ainsi à fonder de nombreuses sociétés savantes telles la Société Linnéenne de Normandie, la Société des antiquaires de Normandie ou la Société française d'archéologie dont l'activité érudite se poursuit aujourd'hui. Entre 1827 et 1830, il voyage à travers l'Europe. Il laisse une œuvre monumentale qui contribue à la connaissance et à la conservation des monuments. Il "construit dans son Cours d'antiquités monumentales, paru entre 1831 et 1843 - dont L'abécédaire ou rudiment d'archéologie est un abrégé - une taxinomie de l'archéologie en appliquant les méthodes comparatistes linnéennes" (Françoise Bercé). Il décède à Caen le 16 avril 1873.

      Sources consultées le 31 mai 2020 :

      -site internet France Archives, portail national des Archives, notice de Françoise Bercé, https://francearchives.fr/de/commemo/recueil-2001/39167

      -site internet Normannia, le patrimoine écrit de Normandie, https://www.normannia.info/arcisse-de-caumont

      -site internet de l'INHA, Dictionnaire critique des historiens de l'art, https://www.inha.fr/fr/ressources/publications/publications-numeriques/dictionnaire-critique-des-historiens-de-l-art/caumont-arcisse-marquis-de.html

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      donateur attribution par source
    • Personnalité :
      Société des Antiquaires de Normandie
      Société des Antiquaires de Normandie

      La Société des antiquaires de Normandie (SAN) est fondée en 1824 à l'instigation d'Arcisse de Caumont (1801-1873) en prenant exemple sur la Society of Antiquaries of London née en 1707. Elle sert à son tour d'exemple aux nombreuses sociétés savantes qui se créent en province au profit de la science historique et de l'archéologie.

      L'histoire de cette société illustre est relatée sur le site internet de la SAN, https://antiquaires-de-normandie.org/, consulté le 31 mai 2020.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      propriétaire
    • Auteur :
      Guy Emile
      Guy Emile

      Emile Guy naît à Paris le 21 mars 1795. Après avoir suivi sa scolarité au collège Bonaparte (aujourd’hui Louis-le-Grand), il entreprend d'étudier la peinture, notamment le paysage puis s'oriente vers l'architecture à l’école des Beaux-Arts (13 mars 1811-27 décembre 1821). Il y reçoit l'enseignement des architectes Charles Percier et d'Antoine Vaudoyer dont il quitte l'atelier pour aider son camarade Pelchet, architecte de l’artillerie, dans la rédaction des plans des arsenaux et magasins de l’artillerie établis dans l'ancien couvent des Dominiquins, place Saint-Thomas-d'Aquin à Paris. Mis à contribution dans les aménagements du château (?) de Vincennes, il prend part à la défense de Paris. Aux Beaux-arts, il côtoie Paul-Marie Le Tarouilly, né le 8 octobre 1795 à Coutances qui, après des études de mathématiques, est admis dans cette école en 1816. Lauréat du Grand prix, Émile Guy devient membre de droit de la Société Centrale des Architectes .

      En 1821, il est nommé architecte de la ville de Caen où il mène de nombreux travaux : installation de l’Hôtel-Dieu dans l’ancienne Abbaye-aux-Dames (1823), restauration de l’Hôtel-de-Ville, reprise en sous-œuvre de l’église Sainte-Trinité et de la tour de l’église Saint-Pierre, construction du Théâtre en 1838 et de la maison centrale de Beaulieu (quartier de la Maladrerie), de nombreuses églises rurales et de châteaux du Calvados. Il s'intéresse également aux piédestaux de plusieurs monuments publics, des statues de Dumont d'Urville à Condé-sur-Noireau (1842), de Malherbe et Laplace devant l'Université de Caen (1847). Sur le modèle du théâtre de Caen, Il construit le théâtre de la ville de Saint-Quentin (1842-1844, Aisne). Il fait pour la ville du Havre un projet d’église dans le style roman, reproduisant plusieurs des dispositions de l’Abbaye-aux-Hommes de Caen, qui attire l'attention de la Société française d’archéologie. A Coutances (Manche), il est appelé par J-J Quesnel de la Morinière pour la construction du Château de la Mare et de ses dépendances en 1841-1843. Son projet est réalisé par un architecte et un entrepreneur locaux.

      Parallèlement, il dispense gratuitement des cours de dessin quarante ans durant. Il est membre de plusieurs sociétés et académies (Société centrale des architectes français, Académie de Caen, Société des Antiquaires de Normandie, Association normande, Société française d’archéologie pour la conservation des monuments, Société des Beaux-Arts, membre honoraire de la Société des architectes britanniques, membre titulaire de l’institut des provinces de France) et franc-maçon.

      Il cesse son activité d'architecte communal le 1er janvier 1861 et décède brutalement le 4 juillet 1866 devant sa maison à Baron-sur-Odon.

      Sources consultées en 2019 :

      -site internet du CTHS, http://cths.fr/an/savant.php?id=109327

      -site internet e-Monumen.net, https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/guy-emile/

      -blog du château du Domaine de la Mare, http://chateaudelamare.unblog.fr/2012/11/26/emile-guy-architecte-du-domaine-du-chateau-de-la-mare/

      -site internet Persée, Emmanuel Luis, « Autour du piédestal des monuments commémoratifs : le rapport entre sculpteurs et architectes à partir d'exemples bas-normands », Livraisons d'histoire de l'architecture, n°12, 2e semestre 2006. p. 71-86, https://www.persee.fr/doc/lha_1627-4970_2006_num_12_1_1050

      -site internet Cadomus, Caen et ses grands magasins, http://www.cadomus.org/articles/caen-et-ses-grands-magasins

      -site internet academie-architecture, membre de l'académie d'architecture 1840-2019, http://academie-architecture.fr/wp-content/uploads/2019/04/AcademieAnnuaire2avril2019.pdf

      -Le Bonhomme normand, 7 juillet 1866, p. 2

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.

Les chapiteaux et la base de colonne présentent un décor en bas-relief et pour certains en relief méplat. Un chapiteau en boutisse (DSAN.83.1218.12) ne présente qu'une face sculptée. D'autres chapiteaux possèdent une face ébauchée et devaient se situer dans les parties hautes de l'élévation (DSAN.83.1218.7 ; DSAN.83.1218.10).

  • Catégories
    sculpture
  • Structures
  • Matériaux
    • calcaire, monolithe décor en bas-relief, décor en relief méplat
  • Mesures
    • h : 24,5 centimètre (DSAN.83.1218.2 )
    • la : 23,5 centimètre (DSAN.83.1218.2 )
    • h : 29 centimètre (DSAN.83.1218.18)
    • la : 36 centimètre (DSAN.83.1218.18)
    • pr : 35 centimètre (DSAN.83.1218.18)
    • h : 29 centimètre (DSAN.83.1218.20 )
    • la : 47 centimètre (DSAN.83.1218.20)
    • pr : 41 centimètre (DSAN.83.1218.20)
    • h : 29 centimètre (DSAN.83.1218.13)
    • la : 44 centimètre (DSAN.83.1218.13)
    • pr : 36,5 centimètre (DSAN.83.1218.13)
    • h : 31 centimètre (DSAN.83.1218.12)
    • la : 36,3 centimètre (DSAN.83.1218.12)
    • pr : 45 centimètre (DSAN.83.1218.12)
    • h : 29,5 centimètre (DSAN.83.1218.7)
    • la : 44,5 centimètre (DSAN.83.1218.7)
    • pr : 33,5 centimètre (DSAN.83.1218.7)
    • h : 29 centimètre (DSAN.83.1218.10)
    • la : 44 centimètre (DSAN.83.1218.10)
    • pr : 37,5 centimètre (DSAN.83.1218.10)
    • h : 21 centimètre (DSAN.83.1218.6)
    • la : 33 centimètre (DSAN.83.1218.6)
    • pr : 36,5 centimètre (DSAN.83.1218.6)
  • Précision dimensions

    DSAN.83.1218.2 : largeur maximale = 23,5 cm ; autres largeurs : 18 ; 18,5 ; 22,7 cm.

  • Iconographies
    • tête d'animal, sur corbeille
    • entrelacs, sur corbeille
    • feuille d'acanthe, sur corbeille
    • masque
    • palmette, sur corbeille
    • tige, sur corbeille
    • godron, sur corbeille
    • perle, sur corbeille
    • bâton brisé, sur colonne, sur corbeille
    • dent de scie, sur corbeille
  • Précision représentations

    Chapiteau d'angle à tête d'animal stylisé (DSAN.83.1218.2), proche du félin sur la corbeille dont le museau occupe l'angle et les pupilles sont forées au trépan ; astragale ornée de bâtons brisés. Ce type de chapiteau est proche de ceux de Mouen et de Saint-Contest.

    Chapiteau à corbeille ornée d'un décor d'entrelacs perlés et de feuilles d'acanthe (DSAN.83.1218.18) ; sur le tailloir, masque humain sous lequel se trouve une cavité provoquée par l'insertion plausible d'un garde-corps ; l'extrémité d'une feuille d'acanthe se terminant en volute déborde sur le tailloir. Le décor végétal évoque l'ornementation des manuscrits enluminés de l’École de Winchester.

    Chapiteau à corbeille ornée d'un décor de palmettes à trois lobes et de tiges perlées (DSAN.83.1218.20) ; tiges méplates se prolongeant en volute aux angles ; palmette entre deux volutes d'angle se terminant par une protubérance et surmontée par un abaque ou un tailloir (?). Le décor végétal évoque l'ornementation des manuscrits enluminés de l’École de Winchester.

    Chapiteau à corbeille ornée de godrons concaves (DSAN.83.1218.13) séparés par des arêtes chanfreinées ; l'astragale et l'abaque présentent un plan polygonal comme aux chapiteaux situés au niveau de la galerie de circulation du croisillon nord du transept de l'église abbatiale de la Trinité.

    Chapiteau à corbeille ornée de godrons (DSAN.83.1218.12) séparés par des filets et dont les sections semi-circulaires sont soulignées d'une rainure biseautée ; godrons plus petits aux angles ; en boutisse, une seule face porte un décor comme sur les chapiteaux de la galerie supérieure de la nef ou du transept de l'église abbatiale de la Trinité ; abaque souligné d'une moulure se prolongeant sur les faces de la boutisse.

    Chapiteau à corbeille ornée de godrons juxtaposés (DSAN.83.1218.7) ; volute d'angle dérivant de la volute du chapiteau corinthien ou composite ; sections semi-circulaires des godrons soulignés par un filet ou une moulure ; astragale de forme polygonale ; un canal plat sépare la corbeille de l'abaque. Une face au décor ébauché n'était pas destinée à être vue et laisse penser que ce chapiteau était positionné au niveau d'une galerie haute.

    Chapiteau à corbeille ornée de godrons séparés par des filets (DSAN.83.1218.10) ; sur trois faces, sections semi-circulaires garnies de palmettes soulignées d'un filet perlé ; décor de dents-de-scie sur l'abaque sur trois faces ; la face ébauchée devait donner sur une galerie de circulation. Un chapiteau similaire se trouve à la galerie haute du bras nord du transept de l'église abbatiale de la Trinité.

    Base de colonne ornée de bâtons rompus (DSAN.83.1218.6) en fort relief qui peut-être rapprochée de celles du prieuré Saint-Gabriel (Saint-Gabriel-Brécy) à décor de frettes ; une face non sculptée est percée de deux trous.

  • État de conservation
    • manque
    • oeuvre restaurée
    • altération ponctuelle
  • Précision état de conservation

    Manques plus ou moins importants relevés sur tous les fragments.

    DSAN.83.1218.2 : manques sur une face de 18 cm de large.

    DSAN.83.1218.18 : manque à un angle ; volutes d'angle arasées ; cavité sous le masque humain.

    DSAN.83.1218.20 : manques dans le décor (1 volute sur les 4 subsiste) ; nombreuses épaufrures relevées sur l'astragale et la corbeille ; quelques éléments refixés au plâtre.

    DSAN.83.1218.13 : éraflures.

    DSAN.83.1218.12 : quelques épaufrures.

    DSAN.83.1218.7 : altération du décor sur une face.

    DSAN.83.1218.10 : manque important sur une face (angle) ; épaufrures.

    DSAN.83.1218.6 : manque au niveau d'un angle.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une association, Objets propriété de la Société des Antiquaires de Normandie (DSAN 83-1218-002 ; DSAN 83-1218-018 ; DSAN 83-1218-020 ; DSAN 83-1218-013 ; DSAN 83-1218-012 ; DSAN 83-1218-007 ; DSAN 83-1218-010 ; DSAN 83-1218-006) déposés au Musée de Normandie depuis 1983 et exposés au siège de la Région Normandie depuis 2005 (convention de dépôt).
  • Intérêt de l'œuvre
    À signaler

Bibliographie

  • BAYLE, Maylis. La Trinité de Caen : sa place dans l'histoire de l'architecture et du décor romans. Genève : Droz ; Paris : Arts et métiers graphiques, 1979. (Bibliothèque de la Société française d'archéologie ; 10).

    Région Basse-Normandie - Inventaire général du patrimoine culturel, Caen : 753 029
    pl. XXXII, fig. 83
  • LOISEL, Catherine. Inventaire de la collection lapidaire romane réunie par la Société des Antiquaires de Normandie. Caen : Université de Caen, 1973. 3 vol. Mémoire de maîtrise : Histoire : Caen : 1973.

    Bibliothèque universitaire - Droits-Lettres - Fonds Normand, Caen : 85004 L Diplôme 230
  • THYBERT, Héléna. Inventaire du lapidaire roman du Musée de Normandie. Caen : Association Caen-Archéologie, 1992.

    Musée de Normandie, Caen
    p. 1, 3-7, 9, 10

Périodiques

  • MARIN, Jean-Yves. Les collections de la Société des Antiquaires de Normandie au Musée de Normandie de Caen. Revue Archéologique de l'Ouest, 1987, n°4.

    p. 153-155.
Date(s) d'enquête : 2013; Date(s) de rédaction : 2014
(c) Région Normandie - Inventaire général
Billat Hélène
Billat Hélène

Chercheuse à l'inventaire général du patrimoine culturel de Basse-Normandie puis de Normandie depuis 2013 : architecture civile et religieuse, patrimoine rural, objets mobiliers civils et religieux étudiés dans le cadre d'inventaires topographiques et ponctuels. Suivi scientifique de l'étude du patrimoine bâti du Parc naturel régional du Perche.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.