Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.
Dossier d’œuvre architecture IA00130198
| Réalisé par
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- inventaire topographique, Le Havre agglomération
- patrimoine industriel, patrimoine industriel de la vallée de la Basse-Seine
- patrimoine industriel, patrimoine industriel protégé MH
manufacture des tabacs de la Compagnie des Indes
Œuvre étudiée
Auteur
(reproduction)
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Miossec YvonMiossec YvonCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Photographe du SRI Rouen, actif entre 1969 et 2010.
Copyright
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Le Havre agglomération
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Hydrographies
bassin de Port
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Commune
Le Havre
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Lieu-dit
centre intra muros,
quartier Saint-François
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Adresse
37 ancienne rue de Bretagne
,
ancienne rue Jérôme Bellarmato
,
ancien quai Casimir Delavigne
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Cadastre
1826
C
2
;
1896
H2
92 à 102
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Précisions
anciennement quartier de Saint-François
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Dénominationsusine de tabac
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Appellationsdite Manufacture des Tabacs de la Compagnie des Indes, manufacture impériale, manufacture royale
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Parties constituantes non étudiéesatelier de fabrication, entrepôt industriel, bureau, aqueduc, fontaine, cour
La manufacture des tabacs du Havre est créée en 1724 par la Compagnie des Indes fondée 80 ans auparavant par Colbert pour développer le commerce avec les Indes orientales qui obtient en 1719 de la concession de la ferme du tabac et se retrouve à la tête des manufactures de Dieppe et de Morlaix, toutes deux en état de vétusté.
La conception de la manufacture du Havre est confiée à l'ingénieur du roi Jean-Jacques Martinet et au premier ingénieur des Ponts et Chaussée Jacques Jules Gabriel. Les travaux sont lancés en 1826, les bâtiments sont établis rue du Grand-Croissant, sur un terrain appartenant au couvent des Capucins. En attendant l’achèvement des travaux, la fabrication du tabac (il s’agit alors exclusivement de tabac à priser et à chiquer) est effectuée dans l'ancien Grand Jeu de Paume, rue de la Crique, transformé en atelier. Il assurera cette fonction jusqu'en 1728.
Le directeur de la manufacture, M. d'Epremesnil, son receveur, M. Dartaguette et son contrôleur, M. Nicolas, participent au projet et insistent pour que les bâtiments soient de faible hauteur pour mieux résister aux vents maritimes, contrairement au modèle en vigueur. L’ingénieur Jule Gabriel apporte quant à lui des corrections sur les plans dessinés par Martinet : il modifie tout à la fois, la distribution des bâtiments et les façades. Ainsi sur l'avant-corps et la porte principale il demande "une décoration plus simple pour mettre l'inscription et les armes de la Compagnie".
Le premier bâtiment, rue de Galet, forme un quadrilatère autour d'une cour et comprend des magasins au rez-de-chaussée et à l'étage les ateliers où sont réalisées les différentes opérations de transformation des feuilles de tabac, telles que le mouillage, le hachage, le râpage, l’écôtage, le roulage et le séchage. Certaines étapes nécessitant beaucoup d’eau, un aqueduc est mis en place entre la manufacture et la fontaine Saint-François.
Un deuxième bâtiment est construit à partir de 1728 sur la rue du Grand-Croissant. Il s’organise autour d'une cour d'honneur et arbore sur son portail les armes de la Compagnie des Indes et des attributs du Commerce. Pour alimenter en eau les ateliers, une fontaine recevant l'eau de l'aqueduc est élevée en 1730. En 1745, un grand magasin au tabac est construit rue Percanville. En 1765, les Capucins cèdent un nouveau terrain pour élever un troisième bâtiment de même hauteur que les précédents. La fabrication du tabac sur ces trois sites occupe alors près de 500 ouvriers, homme, femmes et enfants.
La fin du monopole du tabac en 1791 entraine la fermeture de la manufacture et la liquidation des stocks. L’activité est reprise par une société en commandite constituée par MM. Delafraye, Clarisse et Delonguemare jusqu’en 1811, date à laquelle le monopole de fabrication et de la vente du tabac est attribuée à la Régie des Droits réunis, renommée en 1814 Régie des Contributions indirectes. La manufacture reprend alors son statut de manufacture d’état, impériale puis royale. En 1822, un quatrième site de production composé de bâtiments organisés autour d'une cour centrale est construit sur le quai Lamblardie qui longe le bassin du Commerce. En 1826, l'architecte de la ville Jean-Marin Lemarcis fait refaire les toitures et des murs sur la rue du Galet (actuellement rue Jérôme Bellarmato). En 1827, sur 380 ouvriers employés à la fabrication du tabac, on compte 80 vieillards et 60 enfants de 12 à 16 ans.
En 1830, la manufacture de tabac du Havre reçoit sa première machine à vapeur. Elle est installée par l'ingénieur de l'administration centrale des tabacs, Holcroft. A la même période, l'architecte de la même administration, Lacornée fait édifier le bâtiment dit des moulins. En 1856, l'établissement rachète à la Ville l'Entrepôt Réel voisin pour en faire un magasin. Avec le succès du cigare dont la fabrication s’ajoute alors à celle du tabac à priser et chiquer, le personnel se féminise et les ateliers de fabrication se mécanise. En 1857, l'ingénieur François Mazeline installe une machine à vapeur horizontale de 30 CV, l'ingénieur Demondésir fournit des torréfacteurs et hachoirs en 1862, deux machines horizontales en 1865 et un mouilleur mécanique en 1876. Entre 1872 et 1874, l'atelier des cigares fait l’objet de diverses réparations et est équipé de l'éclairage au gaz. En 1885, l’activité occupe 650 personnes et en 1912, 754, dont 500 femmes.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, l’activité de la manufacture de tabac du Havre est transférée à Morlaix. Ses bâtiments sont en grande partie détruits par les bombardements de septembre 1944. Les vestiges sont classés au titre des monuments historiques en 1946, mais sont finalement abattus en 1960. Seule la porte monumentale est conservée, démontée pierre par pierre dans le but de les remonter à terme contre le mur du futur musée de l'Ancien Havre. Les éléments ayant été perdus, le projet ne verra jamais le jour de sorte qu’aucun témoignage bâti ne subsiste aujourd’hui.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 18e siècle , daté par source , (détruit)
- Principale : 3e quart 18e siècle , daté par source , (détruit)
- Principale : 1er quart 19e siècle , daté par source , (détruit)
- Principale : 2e quart 19e siècle , daté par source , (détruit)
- Principale : 3e quart 19e siècle , daté par source , (détruit)
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Dates
- 1726, daté par source
- 1728, daté par source
- 1730, daté par source
- 1745, daté par source
- 1765, daté par source
- 1822, daté par source
- 1825, daté par source
- 1830, daté par source
- 1856, daté par source
- 1857, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Martinet Jean-jacquesingénieur attribution par sourceMartinet Jean-jacquesCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
ingénieur des Ponts-et-Chaussées en 1718, inspecte le port de Rouen en 1721 et en 1748 les rivière et ruisseau de Conches et d’Iton. Comme architecte, il dresse les plans de l’hôtel du premier Président du parlement à Rouen, construit par Etienne Nicolas et Jacques Barjolle et des bâtiments au collège des Jésuites en 1731, construits par Joseph Couture. Il travaille de 1718 à 1749 aux églises de Rouen (Beaurepaire,1906, p. 118-121). Au Havre, il construit en 1726 la manufacture de tabacs, en 1733 les casernes de la Marine et en 1759 la chapelle du lazaret du Hoc.
Il exécute des travaux dans plusieurs églises : clocher de Saint-Vigor (1718), nouveau décor intérieur de Saint-Eloi (1732). Mais la postérité a essentiellement retenu sa conception à partir de 1717 des plans de l’hôtel du premier Président du Parlement de Normandie (rue Saint-Lô, détruit).
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Auteur :
Gabriel Jacques Jules dit Jacques Vingénieur attribution par sourceGabriel Jacques Jules dit Jacques VCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte (1667-1742) élève et parent de Jules Hardouin-Mansart, père de l’illustre Ange-Jacques Gabriel, il est contrôleur des Bâtiments du roi en 1687,membre de l’Académie d’architecture en 1699, premier ingénieur des Ponts et Chaussées en 1716, premier architecte en 1734. Auteur de nombreux hôtels, de projets pour des églises et pour des ponts, il s’illustre surtout à Rennes (reconstruction de la ville), à Bordeaux (place royale) et à Dijon (Palais des Etats). (BOTTINEAU,2004).
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Auteur :
Lemarcis Jean-Marinarchitecte communal attribution par sourceLemarcis Jean-MarinCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Né dans le village de Leure, Elève de l'école du dessin du Havre en 1801, puis de l'Ecole polytechnique en 1810, reçu en 1812 et enrôlé dans le Génie, formé à l'Ecole militaire de Metz en 1813, capitaine du Génie en 1815 ; architecte des bâtiments civils de l’arrondissement du Havre en 1824, il travaille dans les églises de l’arrondissement, notamment à la nouvelle église paroissiale Saint-Michel d’Ingouville et au prieuré de Graville. Il construit aussi des édifices civils, les mairies de Lillebonne et Saint-Romain de Colbosc. Architecte de la ville du Havre (1826-1839), il dessine un projet d’agrandissement de l’hôtel de ville, termine l'église paroissiale Notre-Dame et intervient sur l'église Saint-François, construit l’octroi des Pincettes et le corps de garde de l’Entrepôt Réel, des marchés couverts, et achève la reconstruction du théâtre. Il reconvertit la raffinerie de sucre de son beau-père Robert Marhurin Dufour en immeuble, rue de l’Hôpital[Bazan] en 1847, et reconstruit ou restaure pour lui-même le pavillon de Tous-Vents hérité de son beau-père. Il élève en 1842 la chapelle funéraire de la famille au cimetière du prieuré de Graville. Son oeuvre, quasiment disparue, était d’une grande qualité architecturale, et son empreinte sur la ville anticipe celles de Pierre François Frissard et Charles Fortuné Brunet Debaisne (AP LEMARCIS. AM. Le Havre, fonds Lemarcis. Jean Marin Lemarcis. Le Havre Métropole, 26/05/2020).
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Auteur :
Demondésir Pierre Antoine Théodoreingénieur de l'entreprise attribution par sourceDemondésir Pierre Antoine ThéodoreCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Issu de Polytechnique, ingénieur en chef des Ponts et chaussées, ingénieur des Manufactures d'Etat de tabac en 1843. geaneanet.org. A travaillé à la manufacture de tabac de Tarbes et à celle de Dieppe.
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Auteur :
Mazeline Françoisingénieur civil attribution par sourceMazeline FrançoisCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
serrurier, mécanicien et inventeur, fils de Louis Philippe Mazeline (1773-1814) qui exploite en 18OO un atelier de forge et une serrurerie au Havre. Avec son frère Adolphe Mazeline (1803-1876), ingénieur, il fonde en 1840 les établissements Mazeline quai d'Harfleur pour fabriquer des machines marines pour l'Etat, médaillées à l'exposition universelle de 1844. Apporte de nombreux perfectionnements aux moteurs de bateaux, invente un régulateur de pression, et des machines-outils. Surtout il invente en 1841 la première machine à mâter au monde, pour les grands voiliers (geneanet).
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Auteur :
Holcroftingénieur de l'entreprise attribution par sourceHolcroftCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Ingénieur de l'administration centrale des tabacs, intervient en 1821 dans la construction de la manufacture de tabacs de Toulouse et en 1831 dans la manufacture de tabacs du Havre, avec l'architecte de l'administration centrale des tabacs.
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Personnalité :
Compagnie des Indes orientales (1664 - 1769)commanditaire attribution par sourceCompagnie des Indes orientalesCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Compagnie française pour le commerce des Indes orientales créée par Colbert le 27 août 1664 dont l'objet était de « naviguer et négocier depuis le cap de Bonne-Espérance presque dans toutes les Indes et mers orientales ». Plus que sa rivale anglaise, elle forme une véritable puissance dans l'océan Indien entre 1720 et 1740, puis devient centrale dans les grandes spéculations boursières sous Louis XVI. Cependant, la guerre d'usure avec la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, puis le choc frontal avec les Anglais en Inde la conduiront à sa perte en 1769, après seulement un siècle d'existence (WIKIPEDIA).
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Auteur :
La manufacture de tabac du quai de Lamblardie était constituée de bâtiments en brique enduite avec chaînage en pierre de taille calcaire à bossage s’élevant sur un étage plus un comble, et couvert d'ardoise. L’entrée s’effectuait par un passage ouvrant par une porte cochère cintrée flanquée de deux pilastres ornés de tables, surmonté par un fronton triangulaire interrompu abritant deux allégories du Commerce. La façade du bâtiment construit en 1822, couvert était flanquée de deux travées à fronton triangulaire imitant un pavillon, et son passage d'entrée ouvrait par une porte cintrée.
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Murs
- calcaire pierre de taille
- brique enduit
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Toitsardoise
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Plansplan rectangulaire régulier
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Étages1 étage carré, étage de comble
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à longs pans pignon couvert
- toit à longs pans brisés croupe brisée
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
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Énergies
- énergie thermique produite sur place
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État de conservationdétruit
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Techniques
- sculpture
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Représentations
- armoiries
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Précision représentations
sujet : armes de la Compagnie des Indes
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablesporte
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Protectionsclassé MH partiellement, 1946/12/02
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Précisions sur la protection
Les ruines de la manufacture de tabacs, les plus important édifice du centre intra-muros sont classées en 1946. L'impossibilité de la reconstruire entraîne la destruction en 1960. La porte principale est démontée pour être conservée et remontée, mais là encore, aucun site n'étant trouvé pour se faire, les éléments ont disparu à une date indéterminée.
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Référence MH
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Presses universitaires de Rouen et du Havre (PURH)
- (c) Archives nationales de France
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque nationale de France
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Archives municipales du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Collection particulière
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) IGN
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Monuments historiques
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Monuments historiques
- (c) Région Normandie - Inventaire général
- (c) Bibliothèque municipale du Havre
Documents d'archives
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/208 : Toisé estimatif des ouvrages qu'il convient de faire pour la construction de 4 bâtiments pour la manufacture de tabacs au Havre, par Martinet, ingénieur des Ponts et Chaussées, 1726.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/216. Toisé estimatif des ouvrages nécessaires pour la construction des bâtiments à usage de manufacture de tabacs, sans date (1726).
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. D2 7/228. Mémoire sur les bâtiments destinés pour une manufacture de tabacs dans la ville du Havre, par Martinet, 13 septembre 1726.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/233. Devis estimatif des ouvrages qu'il convient de faire pour la manufacture de tabacs du Havre, par Galuel, ingénieur, 1726.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/257. Détail du bâtiment de la manufacture de tabac, signé Gabriel, architecte ordinaire du roi et premier ingénieur des Ponts et Chaussées, 1726.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments.D2 7/329. Plan des bâtiments destinés pour la manufacture de tabacs du havre, par Martinet, 1726, étage des entre salles.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/245. Toisé estimatif pour la manufacture de tabacs, 2 bâtiments de magasins, 1 bâtiment de logements, par Martinet, ingénieur du roi, 1728.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/292. Mémoire sur le nouveau plan de la manufacture de tabacs, corrections apportées par Gabriel aux plans de Martinet, 1726.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/305. Devis pour la construction de deux ailes de bâtiments à usage de magasins et d'un corps de logis entre iceux, pour la manufacture de tabacs, par Martinet et Nicolas Barjolles, 1728.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/319. Mémoire sur la manufacture de tabacs du Havre, vers 1728.
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Archives départementales de Seine-Maritime, Rouen
AD Seine-Maritime. Sous-série 4 SP. Ports maritimes et fluviaux. Port du Havre. Cote provisoire 395. Manufacture de tabacs, alignement des quais, prise d'eau 1822-1831.
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Archives municipales, Le Havre
AM Le Havre. Fonds ancien. HH 17. Construction d'un grand magasin pour la Manufacture de tabacs, 1745.
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Archives municipales, Le Havre
AM Le Havre. Fonds révolutionnaire. F2 76. Location des bâtiments et des terrains de la manufacture des tabacs. Inutilité de réserver la 3e cour pour y installer des prisons, 1791-1792.
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Archives municipales, Le Havre
AM. Le Havre. Fonds Révolutionnaire. F2/77 : Manufacture de tabacs, société en commandite au capital de 900 000 £, 1792-an VI. Etat de la manufacture, an IV.
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Archives municipales, Le Havre
AM. Le Havre. Fonds révolutionnaire. G 10. Description de la manufacture des tabacs : trois cours successives, chacune de quatre grands magasins au rez-de-chaussée, quatre au-dessus et les greniers, 1791.
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Archives municipales, Le Havre
AM Le Havre. Fonds contemporain. F2 25. Manufacture de tabacs, 1860-1945.
Bibliographie
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Bibliothèque municipale, Le Havre
BM. Le Havre. LEFAIX, Raoul. Album du Vieux Havre, 1928. 60 photographies accompagnées de notices manuscrites. Non paginé, photographies et dessins numérotés.
N° 7 : La Manufacture de tabacs. -
PRIEM, Georges. Les origines de la manufacture de tabacs du Havre. Rec. Assoc. Amis Vieux Havre, n° 26 (1968), p. 30 sq.
-
PIETTRE, Jean-Hugues, SMITH, Paul. Architecture de manufactures, tabacs et allumettes, 1726-1939. Paris, galerie du SEITA, catalogue de l'exposition, 15 avril-7 juin 1980.
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Centre de documentation du SRI Haute-Normandie
SMITH, Paul. Manufacture des tabacs du havre, Inventaire des plans anciens conservés à la Direction générale de la SEITA. Manufacture du Havre, correspondance, registres conservés à l'Usine de cigarettes de Lyon. Paris : 1982. 15 p.
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[Exposition. Le Havre. 1987]. La manufacture des tabacs du Havre (1724-1944). Musée de l'ancien Havre, 1987. Catalogue.
Périodiques
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Bulletin de la Commission des Antiquités de la Seine-Maritime, t. 24, 1962-63 : Mr Priem s'inquiète du sort de la porte de l'ancienne manufacture de tabacs déposée au chevet de l'église Saint François.
Documents figurés
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/331. Plan des bâtiments destinés pour la manufacture de tabacs, par Martinet, 1726, plan des chambres en galetas dans les greniers où seront les logements de deux employés et encore pour les domestiques des principaux employés.
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AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/330. Plan des bâtiments destinés pour la manufacture de tabacs, par Martinet, 1726, plan du 1er étage.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/327. Plan des bâtiments destinés pour la manufacture de tabacs, par Martinet, 1728, rez-de-chaussée.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments. D2 7/328. Plan des bâtiments destinés pour la manufacture de tabacs, face du bâtiment sur la rue du Croissant où sera la principale porte de la manufacture, par Martinet, 1728.
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Bibliothèque nationale de France
BN Estampes. VA 76. T. IV. Le Havre. Manufacture du tabac du Havre, lavis, 1730.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments.D2 9/1. Plans, dessins, marchés exécutés ou à exécuter à la Manufacture de tabacs du Havre, 18ème siècle.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiments.D2 9/352 à 372. Série de 21 plans, coupe et élévation sur les bâtiments de la manufacture de tabacs du Havre, vers 1789.
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Archives nationales, Paris
AN. Archives de la Marine. Sous série D2. Travaux hydrauliques et bâtiment. D2 9/374,375. Plan des magasins de mouillade des tabacs, vers 1789.
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Archives départementales de Seine-Maritime, Rouen
AD Seine-Maritime. 2023 W 299/2. Le Havre, plan cadastral avec numérotation des îlots de la Reconstruction, section HB, 1954.
Parcelle 6 (N55).
Annexes
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AN. Archives de la Marine. D2 9/352 à 372. Série de 21 plans, coupe et élévation sur les bâtiments de la manufacture de tabacs du Havre, vers 1789.
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AN. Archives de la Marine. D2 7/292. Mémoire sur le nouveau plan de la manufacture de tabacs, corrections apportées par Gabriel aux plans de Martinet, 1726.
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AN. Archives de la Marine. D2 7/228. Mémoire sur les bâtiments destinés pour une manufacture de tabacs dans la ville du Havre, par Martinet, 13 septembre 1726.
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BM Le Havre. LEFAIX, Raoul. Album du Vieux Havre, 1928. 60 photographies accompagnées de notices manuscrites.
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SMITH, Paul. Manufacture des tabacs du havre, Inventaire des plans anciens conservés à la Direction générale de la SEITA. Paris : 1982. Séries A-70.
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SMITH, Paul. Manufacture des tabacs du havre, Inventaire des plans anciens conservés à la Direction générale de la SEITA. Paris : 1982. Série B 1-70.
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SMITH, Paul. Manufacture des tabacs du havre, Inventaire des plans anciens conservés à la Direction générale de la SEITA. Paris : 1982.. Série F 1-114.
Date(s) d'enquête :
1991;
Date(s) de rédaction :
1992,
2007
(c) Région Normandie - Inventaire général
Etienne Claire
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Etienne Claire
Chercheuse au Service Régional de l'Inventaire de Haute-Normandie de 1972 à 1978. Cheffe du Service Régional de l'Inventaire de Basse-Normandie et chercheur de 1978 à 1988. Chercheur au Service Régional de l'Inventaire de Haute-Normandie de 1988 à 2005, puis chef du dit Service et chercheur de 2005 à 2015. Spécialités : patrimoine rural, patrimoine urbain, patrimoine de la villégiature. Etude fondamentale de l'agglomération du Havre. Publications : Claire Etienne-Steiner.
Real Emmanuelle
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Real Emmanuelle
Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.
Articulation des dossiers
Chercheuse au Service Régional de l'Inventaire de Haute-Normandie de 1972 à 1978. Cheffe du Service Régional de l'Inventaire de Basse-Normandie et chercheur de 1978 à 1988. Chercheur au Service Régional de l'Inventaire de Haute-Normandie de 1988 à 2005, puis chef du dit Service et chercheur de 2005 à 2015. Spécialités : patrimoine rural, patrimoine urbain, patrimoine de la villégiature. Etude fondamentale de l'agglomération du Havre. Publications : Claire Etienne-Steiner.