Dossier d’œuvre architecture IA00018606 | Réalisé par
Real Emmanuelle (Contributeur)
Real Emmanuelle

Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.

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Pottier Gaëlle (Rédacteur)
Pottier Gaëlle

Chercheuse associée au Parc naturel des Boucles de la Seine Normande depuis 2014, en charge de l'inventaire du patrimoine bâti et des éléments de paysage associés.

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  • patrimoine industriel, patrimoine industriel de l'Eure
  • patrimoine industriel, patrimoine industriel protégé MH
  • inventaire topographique, boucles de la Seine normande
moulin à vent, dit moulin de pierre
Œuvre étudiée
Auteur
  • Lagarde Jean-Pierre
    Lagarde Jean-Pierre

    Diplômé de Photographie de l'Aéronavale engagé volontaire, il s'installe à Paris en 1971 où il obtient la médaille de Bronze à l'Exposition Mondiale de la Photographie. Quittant Paris en 1979, il monte en Normandie une atelier de prises de vue et devient reporter pour France 3 Normandie Rouen en 1980. A partir de 1995, il enseigne la photographie dans plusieurs établissements : au CFT GOBELINS à Paris (Ecole des métiers de l'image) - section Prise de Vue jusqu'en 2002, au lycée Risle-Seine de Pont-Audemer, puis au lycée technologique d'arts appliqués Auguste Renoir (Paris, 18e) en 1996. Création et gestion d'une école BTS Photo en Normandie en 2001.

    Président fondateur du photo-club de la ville de Pont-Audemer en 1995.

    Auteur de nombreux reportages photographiques d'architecture et de décoration publiés dans divers magazines (Maisons normandes, Maisons de Campagne, Architecture à vivre, Maisons et Travaux, Restaurer sa Maison...) en 2007. Prestations de photos industrielles et d'architecture pour le groupe SNECMA.

    Entre 1967 et 2002, il participe à de nombreuses expositions à Paris et en Normandie : musée du Louvre en 1967 (sculpteur César), galerie Théroulde de Pont-Audemer en 1994, manoir de Villers en 1996, abbaye de Belval près d'Arras en 1998 et abbaye cistercienne du Mont des Cats en 1999...

    https://actuphoto.com/jean-pierrelagarde

    http://www.jeanpierrelagarde.com

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Copyright
  • (c) Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande
  • (c) Collection particulière

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays du Roumois - Routot
  • Commune Hauville
  • Lieu-dit rue du moulin de pierre
  • Adresse C.D. 101 , 2 route du moulin
  • Cadastre 1826 D 24 cadastre napoléonien ; 1968 ZA 107  ; 2021 ZA 238
  • Dénominations
    moulin à blé
  • Précision dénomination
    moulin à blé à vent
  • Appellations
    moulin de pierre
  • Destinations
    musée de la meunerie
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier de fabrication

Mentionné dans une charte de 1264 puis dans une charte de 1304 comme « moulin des religieux [de Jumièges] », le premier moulin de Hauville dit également moulin de Pierre est édifié durant la première moitié du 13e siècle par les moines de Jumièges, vraisemblablement entre 1212 et 1239 d’après des fouilles archéologiques menées sous la direction de Raymond Guillois (ingénieur en pétrochimie, fervent molinologue) dans les années 1980 qui ont permis de mettre à jour des maçonneries de plan circulaire, un peu décalée par rapport à la base du moulin actuel, réutilisées comme caves. Le cartulaire de Jumièges en fait mention dans le dénombrement des biens de l’abbaye réalisé le 25 janvier 1396 qui décrit « …en la paroisse de Hauville un fieu et manoir à court et usage, un moulin avec autres appartenances coutumes et livrées de bois franc de panage et de pâturage en la forêt de Brotonne… ». Ce premier moulin édifié en bois sur pivot aurait été détruit et abandonné durant la guerre de Cent Ans.

Il est reconstruit en pierre durant la première moitié du 16e siècle et est cité à nouveau dans le dénombrement des biens de l’abbaye de Jumièges le 28 mars 1526. Le 22 février 1544, les moines de Jumièges sont confirmés dans leurs droits sur le dit moulin par le pape Paul III Farnèse. En 1672, il est représenté pour la première fois, avec ses ailes, sur un plan des chemins de Hauville.

Il est bien connu au 18e siècle par sa série de baux et de comptes de réparations : le 1er octobre 1704, un bail de 9 ans, portant sur le moulin de pierre et sur une pièce d’1/2 acre de terre en labour sur laquelle est située le moulin ainsi qu’une petite maison, est accordé au profit de Robert Bocquier fils. Le bail est reconduit pour une durée de 9 ans le 18 mars 1713. Ce bail s’applique également à une maison manable et à un four. Le 30 janvier 1723, un nouveau bail est concédé à Jacques Bosquier, meunier pour le moulin de pierre, la motte de terre sur laquelle il est assis, une pièce de terre labourable d’I/2 acre assise près du moulin sur laquelle se trouve une maison manable de fond en comble, construite depuis quelques années, un petit jardin potager entouré de haies à vives plantes et un four à cage. Le renouvellement du bail du moulin est à nouveau accordé à Jacques Bosquier le 23 septembre 1731. Diverses travaux (achat d’un câble pour tourner au vent, réparation du cabestau et du gros fer) sont opérées sur le moulin en 1740, celui-ci étant à nouveau concédé pour 9 ans à Jacques Bosquier par renouvellement de bail le 22 juillet 1740. Une facture de charpentier du 20 avril 1741 fait état de divers réparations effectuées sur l’édifice dont le « raccommodage du cabestau » et le « replaçage de l’arbre ». Deux autres datées du 15 juillet et du 2 octobre 1743 mentionnent respectivement la réparation du mécanisme puis la réparation du petit fer et du collet de l’arbre par Michel Sagant, maréchal ferrant à Guénouville. En 1748, le moulin, la terre et l’habitation sont représentés sur le plan terrier de la paroisse d’Hauville. Un nouveau bail est accordé le 31 mai 1765 à Jean Bocquer demeurant à Barneville et à Jacques Bocquer, son frère, demeurant à Hauville, mais une saisie des meubles est mentionnée le 21 janvier 1767. Un sous-bail de 9 ans est concédé le 20 septembre 1774 à Louis Duhamel, meunier, par Pierre Gréaume, laboureur demeurant à la cour Labbé à Hauville et agissant pour le compte de l’abbé de Jumièges. Ce bail précise que le meunier est « tenu d’entretenir et réparer toutes les couvertures des bâtiments et du moulin en clous, lattes, paille et chevrons… ». Enfin, le 27 novembre 1775, un bail emphytéotique de 99 ans est accordé à Louis Duhamel, meunier pour « la pièce du moulin qui comprend 16 perches, une pièce de terre, une maison manable composée de 5 aîtres de bâtiments se tenant à différents usages, un four et un petit jardin potager enclos de haies vives, le tout borné avec la butte dudit moulin d’un côté.

Le 29 brumaire an V (19 novembre 1796), le moulin de pierre est déclaré bien national et vendu 3 940 F au citoyen Lenoble du Landin. Son revenu est alors évalué à 210 F. Le 29 pluviôse an X (18 février 1802), il est cité parmi les 5 moulins de Hauville dans l’état des moulins à farine en activité. Il est alors exploité par Joseph Lejeune, meunier, et sa capacité de production atteint 9 quintaux de farine par jour. Le 30 janvier 1809, un nouvel état des moulins à farine en activité signale le moulin de pierre en capacité de moudre 5 quintaux de farine par jour et qu’il est équipé pour cela de meules provenant de La Ferté sous Jouarre (77). 111 moulins à vent sont recensés à cette époque dans le département de l’Eure. Le moulin de pierre et les bâtiments qui l’entourent figurent dans le premier cadastre établi en 1826, section D, parcelle 24. En 1845, la statistique industrielle de la France recense 4 moulins à Hauville, contre 5 existants antérieurement (le moulin de la Cauchure a disparu) dont celui de pierre qui emploie une personne, le meunier, et dont la valeur locative est de 350 F. Charpillon et Caresne citent, dans leur dictionnaire des communes de l’Eure publié en 1868, un moulin à vent en activité à Hauville. Il s’agit vraisemblablement du moulin de pierre. Son activité est arrêtée définitivement peu après cette date car on sait qu’il va servir de lieu de camouflage à des francs-tireurs durant la guerre de 1870. Durant la décennie suivante, le moulin perd ses ailes mais maintenu hors d’eau par la pose d’une couverture en tuile en remplacement de la précédente (la lucarne existante est alors supprimée). Les premières photographies du site réalisées au début du 20e siècle montrent le moulin avec sa couverture en tuiles mais toujours sans ses ailes. Abandonné, le moulin de pierre tombe progressivement en ruine. En 1944, un obus détruit partiellement sa couverture. Une représentation publiée en 1965 dans un numéro de la revue Nouvelles de l’Eure consacré au Roumois montre le moulin sans toiture. Ne subsistent en effet que les vestiges de sa tour en assise régulière de silex et de calcaire et quelques éléments de charpente.

Au début des années 1970, sous la pression de quelques habitants de la commune, la famille Dezellus, illustre famille du Roumois propriétaire du moulin, prend conscience de l’intérêt de l’édifice et de la nécessité de le restaurer pour assurer sa sauvegarde. Parallèlement, est créé en 1974 le Parc de Brotonne dans le périmètre duquel se trouve incluse la commune de Hauville. La nouvelle entité propose d’emblée à Jean Dezellus de prendre en charge la totalité des travaux de restauration moyennant une location de longue durée dans le but d’intégrer le moulin comme un élément de la maison du Roumois inscrite au programme d’équipement du parc. Un accord est trouvé entre les deux parties le 3 juillet 1974. Le moulin de pierre est finalement inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 13 février 1979. Un bail emphytéotique est signé le 5 mai 1980 entre le Parc et le propriétaire, moyennant un loyer annuel de 10 F. Les travaux de restauration sont lancés en 1984. Ils prévoient la reconstitution de la toiture, des planchers, du mécanisme y compris les ailes et l'installation du matériel de mouture. La réfection des parties en bois est confiée à André Croix, charpentier à La Cornuaille (49) qui vient de récupérer l'arbre de transmission d'un ancien moulin à vent du Maine-et-Loire. Les travaux de maçonnerie sont réalisés par M. Robert Hanchard, maçon à Routot et la couverture en chaume est confiée à M. Michel Catherine, installé à Étreville. Une girouette en zinc, fabriquée par M. Jean-Pierre Masquelier, artisan à Francheville (Eure), est installée au sommet de la toiture. La totalité des travaux s’élève à 400 000 F, financés par le ministère de la Culture (40%), l’Etablissement public régional (30%), le ministère de l’Environnement (20%), le propriétaire (10%). La maitrise d’ouvrage est assurée par le Parc qui bénéficie d’un bail emphytéotique. Dix ans plus tard, une chaumière de style néo-normand est construite de toutes pièces en remployant les matériaux d'une maison d'habitation démontée à Conteville (Eure) afin de restituer l'ancienne maison du meunier. Il existait à 700 mètres du moulin, au lieu-dit « La Mare Patin », une maison appelée maison du meunier en raison de ses chaînages en pierre de taille (provenant probablement du moulin) autour de ses portes et fenêtres. Celle-ci, photographiée en ruines en 1971 par le Parc de Brotonne, a été entièrement détruite et ses matériaux ont été en partie récupérés par la famille Dezellus.

En 2010, le Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande procède à une seconde compagne de remplacement des ailes et du mécanisme du moulin. Le site composé du moulin et de la maison du meunier abrite aujourd'hui un musée et un atelier de meunerie.

  • Période(s)
    • Principale : 13e siècle
    • Principale : 16e siècle
  • Auteur(s)
    • Personnalité :
      Joubert Alain
      Joubert Alain

      Président de l'association Terres Vivantes en Normandie, Alain Joubert est l'un des fondateurs du Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande, créé sous l'appellation Parc de Brotonne en 1974 au Trait. Élève de Georges-Henri Rivière, il est à l'origine de la mise en place du réseau de l’Écomusée de la Basse-Seine constitué autour de plusieurs sites autour de Routot, Hauville et La Haye-de-Routot, de la maison des métiers à Bourneville et du musée de la Marine de Seine à Caudebec-en-Caux. Il est également l'auteur d'une thèse intitulée L'autre côté de l'eau qui s'interroge sur la barrière mentale que représente la Seine pour les communautés installées de part et d'autre des rives du fleuve. Un résumé en a été publié dans le n° 43-4 de Etudes normandes, 1994, p. 5-66.

      Après avoir longtemps travaillé au sein du Parc naturel régional (installé au début des années 1990 à Notre-Dame-de-Bliquetuit) à la constitution d'une collection d'objets ethnographiques, d'une photothèque et d'un fonds sonore composé d'une centaine d'entretiens oraux, il a assumé en qualité de conservateur du patrimoine la direction conjointe des sites de la Corderie-Vallois à Notre-Dame-de-Bondeville et du château-musée de Martainville (76).

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    • Auteur :
      Hanchard Robert
      Hanchard Robert

      Maçon à Routot (entreprise fermée en 2000). A travaillé à la restauration du moulin de pierre à Hauville (Eure).

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      entrepreneur de maçonnerie attribution par travaux historiques

La tour cylindrique, bâtie en assises alternées de pierres de taille calcaire et de silex appareillés, s'élève sur deux étages et une cave. Deux portes d'entrée en anse de panier desservent le rez-de-chaussée qui abrite la chambre des grains, le cabestan qui permet de « virer la queue du moulin », l'ancien gros fer du 19e siècle à entrainement direct et d’anciennes voiles pour les ailes. Au premier étage, la vis de serrage des meules, la goulotte en bois qui déverse le grain moulu dans le réservoir, les deux engrenages et leurs dents de bois. Un escalier en colimaçon, qui remplace l’ancienne échelle de meunier, mène au second étage, à la chambre des meules. Sous le toit, l’arbre, grosse pièce de bois horizontale qui traverse l'épaisseur du moulin se termine, d’un côté par les ailes, et de l’autre par la queue du moulin. L’arbre entraîne le grand rouet et la lanterne. Les dents d'engrenage du grand rouet s'insèrent entre les alluchons de la lanterne. Ces pièces sont en bois très dur (cormier ou cornouiller). Le gros fer, pièce métallique verticale à entraînement indirect, descend à travers le plancher. La trémie qui reçoit le grain à moudre est placée sur le coffre qui enferme les meules. La toiture est éclairée par deux lucarnes qui permettaient autrefois au meunier de surveiller l’extérieur : stabilité du vent, arrivée des clients, passage régulier des ailes…

  • Murs
    • calcaire pierre de taille
    • silex moellon
    • appareil à assises alternées
  • Toits
    chaume, roseau
  • Étages
    2 étages carrés
  • Couvertures
    • toit conique
  • Énergies
    • énergie éolienne produite sur place
  • Typologies
    bâti en pierre
  • État de conservation
    établissement industriel désaffecté, restauré
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • sujet profane
  • Précision représentations

    Graffiti gravés dans l'épaisseur des lucarnes : graffito de moulin sur pivot (probablement le moulin de la Haule qui était visible depuis l'étage du moulin de Pierre), graffito d'une tour de moulin et inscription de Nicolas Lacir / 1723.

  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public régional
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    atelier de fabrication
  • Protections
    inscrit MH, 1979/02/13
  • Précisions sur la protection

    totalité de l'ancien moulin à vent (Cad. ZA 107) : inscription par arrêté du 13 février 1979.

  • Référence MH
Image non communicable

Documents d'archives

  • AD Seine-Maritime. Série Fi ; Sous-Série 12 Fi : 12 Fi 62. Paroisse, baronnie et haute-justice d'Hauville appartenant à l'abbaye de Jumièges. Plan parcellaire dressé par Augustin Poullain, arpenteur des forêts du roi, 1748.

    Archives départementales de Seine-Maritime, Rouen : 12 Fi 62
  • AD Eure. Série M ; sous-série 6 M : 6 M 1245. Statistiques des moulins à blé, carrières, brasseries.

    Archives départementales de l'Eure, Evreux : 6 M 1245
    capacité de production en 1802.
  • AD Eure. 3PL/968/7. Cadastre napoléonien, Hauville, section D du moulin de pierre, 1826.

    Archives départementales de l'Eure, Evreux : 3PL/968/7

Bibliographie

  • EUDELINE, Paul (Abbé). Monographie paroissiale. Hauville, notes pouvant servir à l'histoire de cette commune recueillies par l'abbé Paul Eudeline pendant son ministère dans cette paroisse, de 1895 à 1906. A. Lestringant, Imprimerie de l'Eure, Évreux, 1918.

    Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
  • CHARPILLON, Louis-Etienne, CARESME, Anatole. Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure. Les Andelys : Delcroix, 1879. Réédition. Paris : Éditions Res Universis, 1992. 3 vols.

  • GUILLOIT, Raymond. Le Moulin de pierre d'Hauville. Maromme : imp. Féré. Écomusée de Basse-Seine, Parc naturel régional de Brotonne, avril 1984, 28 p.

    Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
  • JOUBERT, Alain. Renaissance du moulin de pierre à Hauville. Patrimoine normand, n°2, avril-mai 1995, p. 65-72.

    Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
  • AMIS DES MONUMENTS ET SITES DE L'EURE. Dans le Roumois, autour des boucles de la Seine. Confluence, 2017.

    Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
    Joubert, Alain : "le moulin de Hauville, invention technologique du 13e siècle", p. 97-113.
  • LAJOIE-MAZENC, Claudine et Michel. Nous avons vu la Normandie... Congrès annuel 2009 (24, 25 et 26 avril 2009). Le monde des moulins, n° 30, octobre 2009.

Périodiques

  • CARON, Marcelle, CARON, Marie-France. Du moulin de Hauville aux origines de l'ARAM. In : Moulin de France, avril 2009, n°78, p. 4-5.

Annexes

  • Le Monde des moulins, n° 30, octobre 2009.
Date(s) d'enquête : 1968; Date(s) de rédaction : 2005, 2021
(c) Région Normandie - Inventaire général
(c) Parc naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Real Emmanuelle
Real Emmanuelle

Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.

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Pottier Gaëlle
Pottier Gaëlle

Chercheuse associée au Parc naturel des Boucles de la Seine Normande depuis 2014, en charge de l'inventaire du patrimoine bâti et des éléments de paysage associés.

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Dossiers de synthèse
Articulation des dossiers