Dossier d’œuvre architecture IA00016795 | Réalisé par
Real Emmanuelle (Contributeur)
Real Emmanuelle

Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.

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  • patrimoine industriel, patrimoine industriel du bassin hydrographique de l'Andelle
fonderies de cuivre de Romilly
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Normandie - Inventaire général
  • (c) Collection Privée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton bassin hydrographique de l'Andelle - Romilly-sur-Andelle
  • Hydrographies bief de dérivation l'Andelle
  • Commune Romilly-sur-Andelle
  • Cadastre 1834 B 595, 647, 648, 651, 684, 692, 712, 744, 756, 761,

Les Fonderies de Romilly sont créées en 1782 « …pour raffiner, battre et laminer le cuivre à l’usage de la Marine Royale… ». Elles constituent le premier grand établissement de laminage de cuivre installé en France, la production de cuivre laminé et martelé en grande dimension étant jusqu’alors une industrie exclusivement anglaise et totalement absente du territoire français.

L’usine est fondée par le banquier et homme d'affaire, originaire de Louviers, Michel-Louis Le Camus de Limare, qui après un voyage d’observation en Angleterre (d'où il ramène technologie et main d’œuvre qualifiée) rachète, le 4 septembre 1781, à Louis Baptiste Lancelevée, conseiller du Roy et procureur en la maîtrise des eaux et forêts de Pont-de-l’Arche, un vaste terrain situé à Romilly traversé par l’Andelle, contre 3 836 livres de rente annuelle. Sur ces terres se trouvent quatre moulins à foulon (les deux moulins de Perpignan et les deux moulins des Ponts) qui travaillent pour les maîtres drapiers de Louviers et d'Elbeuf et qu’il veut remplacer par des fonderies, laminoirs et autres ateliers de métallurgie non ferreuse. S’y trouve également la demeure qui deviendra la maison des administrateurs des Fonderies et abritera les bureaux. La conception du projet est confié à l'architecte militaire Charles-François Mandar.

L’implantation des Fonderies à Romilly est officiellement autorisée par l’arrêt du conseil d’État du Roi du 23 avril 1782. Comme le stipule ce document, l’origine de la production de cuivre à Romilly est une soumission « …vue et acceptée par le Ministère de la Marine de fournir pour le service de sa Majesté tous les cuivres à doublage et autre, tant moulés que battus et laminés… ». Les Fonderies de Romilly ont donc pour première fonction la production de plaques de cuivre servant au doublage des coques des navires de la Marine royale dans le but d’améliorer leur protection, leur vitesse et leur maniabilité. Cette production doit permettre de rivaliser avec la marine anglaise qui utilise déjà cette technique et surtout de s’affranchir des importations de plaques de cuivre britanniques. Appliqué d’abord aux navires de guerre, le doublage en cuivre des carènes est rendu obligatoire pour les vaisseaux de ligne français en 1784. Les Fonderies de Romilly, alors en position de monopole, obtiennent un contrat exclusif pour fournir entre 1787 et 1793, tous les ports en plaques de cuivre. Un marché important, quand on sait que pour doubler un navire de 110 m, 33 750 livres de feuilles de cuivre et 4 800 livres de clous sont nécessaires.

Le choix d’une implantation dans la basse vallée de l’Andelle s’explique par trois raisons : la proximité du port de Rouen et de la Seine par où transite le cuivre importé de l’étranger (Suède, Danemark, Norvège, Hongrie), l'existence d'un réseau routier ancien entre la capitale régionale et Paris via la vallée de l'Andelle, mais surtout la présence de la rivière qui offre pour ce type d’activité une force hydraulique suffisante, de l’ordre de 260 CV de force utile.

Jusqu’en 1785, Michel-Louis Le Camus de Limare reste seul administrateur de l’entreprise. Il investit, avec l’aide d’un négociant havrais M. Chauvel, près de 320 000 livres pour l’aménagement et l’équipement d’une nouvelle usine sur le site dit de Perpignan. Mais, pour faire face aux lourds investissements immobiliers et mobiliers que requièrent un tel établissement, Le Camus de Limare constitue le 16 avril 1785 une société en commandite, dénommée "la société des Fonderies de Romilly" qui compte parmi ses actionnaires : Eugène Isquierdo de Rivera, diplomate et homme d’affaire espagnol, les frères Lecouteulx banquiers parisiens et les frères Lefebvre négociants rouennais. Malgré un capital considérable de 800 000 livres, la société doit en 1787 doubler ses actifs pour consolider ses dettes. Avec un capital porté à 1 600 000 livres, c’est alors une des premières entreprises du royaume. En 1790, son siège social est transféré de Rouen à Paris, où résident les frères Lecouteulx devenus les principaux actionnaires et qui assurent alors la direction des affaires. Mais des tensions se font rapidement sentir et l’organisation de l’entreprise est modifiée : en 1808, les Fonderies de Romilly sont constituées en société anonyme.

Les Fonderies de Romilly vont connaître plusieurs étapes de développement et former au final un chapelet d’usines dispersées. Elles sont au nombre de 7 au plus fort de l’activité, c'est à dire au début des années 1840. Ce sont les usines dites du Perpignan, des Ponts, des Bocards, de Bétille, de Besle, des Deux Amants et de Repainville. Toutes sont implantées sur le bras principal de l’Andelle et toutes bien sûr utilisent sa force hydraulique de la rivière pour faire mouvoir leurs machines. La société anonyme des Fonderies de Romilly est autorisée à maintenir en activité les usines qu’elle possède dans la commune en vertu de l'ordonnance royale du 22 janvier 1843 qui réglemente chacune d'elles.

L’usine principale, mise en service en 1782, est établie sur le site de Perpignan, dont elle prend le nom. Elle comprend une fonderie (à fourneau à réverbère), un laminoir et une batterie de martinets pour le martelage des barres et petites plaques de cuivre. Des logements ouvriers sont édifiés non loin des ateliers pour loger une partie du personnel.

La construction de l’usine des Ponts (pour battre et laminer le cuivre) à la place des deux moulins à foulon acquis en 1781, est autorisée le 28 avril 1788. A partir de 1796, elle assure aussi la fabrication de fil de laiton à partir de métaux provenant des usines d’épingles de L'Aigle et de Rugles.

Avant la Révolution française, ces deux unités produisent entre 1 200 et 2 000 tonnes par an de feuilles de doublage, clous, fonds de chaudières, planches, barreaux, viroles, rondelles… et emploient 200 à 250 ouvriers. Après une chute brutale de l'activité durant la période révolutionnaire et les guerres napoléoniennes, la production retrouve son niveau antérieur à partir de 1817.

En 1792, la société poursuit son extension en faisant l’acquisition de 4 nouveaux moulins situés en amont des sites de Perpignan et des Ponts. Il s'agit de l’un des deux moulins de Bétille, des deux moulins de Besle (ou de Hollande) et de celui dit de Repainville. Tous les quatre étant jusqu’alors à usage de foulon à draps. En 1810, la société rachète le moulin des Deux Amants et le deuxième moulin de Bétille.

L’usine de Besle est édifiée en 1816. Elle est dédiée au laminage du laiton, dit cuivre jaune, préalablement fondu dans l’usine de Perpignan. Elle comprend alors un laminoir double entraîné par 2 roues hydrauliques. En 1819, elle est dotée d’une troisième roue affectée exclusivement au tréfilage du laiton (activité nouvelle en France) qui deviendra en 1833 sa seule activité. En 1823, pour satisfaire une commande de 200 000 kg de cuivre pour la Marine Royale, les deux moulins de Bétille sont transformés en laminoir double (c'est le quatrième des Fonderies de Romilly) entraîné par deux roues de 7 m de diamètre et de 1,60 m de largeur. En 1825, l’usine des Deux Amants est équipée d’une batterie de 5 martinets pour produire des feuilles de zinc (pour toiture et ustensiles de cuisine).

En 1826, les Fonderies de Romilly perdent le marché de la Marine Royale, au profit des Fonderies d’Imphy (Nièvre) qui proposent de meilleurs tarifs. Cette date correspond à la fin des relations privilégiées avec la Marine d’État.

En 1834, pour faire face à la concurrence, l’usine de Perpignan est modernisée et dotée d’un nouvel atelier de laminage construit dans le prolongement de la fonderie. Les travaux sont réalisés sous la direction de l’ingénieur Achille Ferry, qui est également enseignant à l’école Centrale. A la place de l’atelier primitif en charpente bois, il fait construire une grande halle de 43 m de long sur 29 de large, dotée d’une charpente mixte, en bois et fer, de son invention. Pour entraîner les quatre nouveaux laminoirs, le système hydraulique est également remanié : les deux bras de rivière qui entouraient l’usine primitive et entraînaient plusieurs roues hydrauliques sont remplacés par un canal unique creusé sous la nouvelle halle où est installée une immense roue de type Poncelet à aubes courbes (c'est la première installée dans la vallée de l'Andelle) de 5,7 m de diamètre, développant une puissance de près de 60 CV.

En 1837, Achille Ferry se voit confier la rénovation de l’usine des Ponts, qui abritait aussi des laminoirs de cuivre et de laiton. Là encore, c’est un bâtiment de type grande halle doté d’une charpente mixte associant bois et métal, conçue cette fois par le colonel du génie Armand-Rose Emy, qui est édifié.

En 1839, l’usine des Ponts et celle des Deux Amants sont, à leur tour, équipées de roues Poncelet et sont alors vouées au laminage du cuivre et du laiton. A partir de 1849, commence la fabrication des tuyaux en cuivre pour les locomotives.

Toutes les usines qui constituent les Fonderies de Romilly sont réglementées par l'arrêté préfectoral du 24 février 1842 que confirme l'ordonnance royale du 22 janvier 1843.

La seconde moitié du XIXe siècle marque le déclin des Fonderies de Romilly malgré la création en 1849 d’un atelier de fabrication de tuyaux de cuivre pour la construction des locomotives sur le site des Deux Amants, la mise en place d’une nouvelle fonderie de laiton en 1851 et l'installation entre 1856 et 1860 de 4 machines à vapeur servant aux ateliers de fusion, de laminage et de martelage de cuivre. Grâce à ces investissements, le rendement des Fonderies de Romilly a triplé, mais la concurrence étrangère (anglaise et belge notamment) et française (celle des Forges et Fonderies d'Imphy dans la Nièvre) reste encore trop forte. En 1857, les Fonderies de Romilly n'emploient plus que 80 ouvriers. Cette même année, la société Létrange, propriétaire des Fonderies de Saint-Denis (93), reprend la gestion des usines de Romilly.

Le traité de libre-échange signé avec l'Angleterre en 1860 marque la fin de l'entreprise : la société des Fonderies de Romilly est définitivement dissoute en 1865 et la même année ses unités de production sont rachetées par la société Létrange et Cie. L’établissement de Romilly devient alors une annexe de l'usine de Saint-Denis. Dès lors aucune modernisation n’est plus apportée à l’établissement, excepté à l’usine de Perpignan où la roue Poncelet est remplacée par une turbine Koechlin de 80 CV, où les transmissions et organes de laminoirs sont renforcés et où la capacité des fours d’affinage est augmentée à 10 000 kg, contre 3 500 kg auparavant. Ces aménagements permettent aux usines de Romilly de fournir, dès 1866, les lourdes pièces destinées à la construction de chaudières de grande dimension (pour le chemin de fer et l’industrie sucrière), qui deviennent alors la production principale de l’usine.

A la fin des années 1870, pour palier le déclin des Fonderies, faute d’investissements, l’activité des ateliers est diversifiée. On y fabrique des plaques de cuivre pour le laminage, des cylindres pleins pour la tréfilerie, des cylindres creux pour la production de tuyaux non soudés, des bagues de cuivre pour les balles, des pièces d’artillerie... Les activités de chaudronnerie se développent avec la confection d’appareils de distilleries, de raffineries, de sucreries…

En 1894, la société Létrange et Cie décide de se séparer des usines de Romilly et les cède pour la somme de 592 000 F à la société Dupré-Neuvy spécialisée dans la vente des métaux et la fabrication de pompe à eau. Celle-ci, à son tour, revend séparément à différents industriels les 4 unités de production qui étaient encore en fonctionnement. Les Fonderies cessent définitivement leur activité métallurgique en 1896.

Établissement exceptionnel et précurseur, les Fonderies de Romilly furent à l’origine du développement de l’industrie métallurgique non-ferreuse dans le département de l’Eure au XIXe siècle, sur les rivières de l’Epte, de la Risle et de l’Iton notamment. Avec une multitude d’usines spécialisées dans la transformation du cuivre, du zinc et du laiton, l’Eure se place au milieu du XIXe siècle à la tête des départements français dans ce secteur.

Les Fonderies de Romilly se déploient sur plus d'un kilomètre de distance et comprennent sept unités de production toutes alimentées en énergie par la rivière de l'Andelle :

-l'usine de Perpignan

-l'usine des Ponts

-l'usine de Bétille (ou de Hollande)

-l'usine de Besle

-l'usine des Deux Amants

-l'usine de Repainville

-l'usine des Boccards

  • Murs
    • brique
  • Énergies
    • énergie hydraulique produite sur place roue hydraulique horizontale
    • énergie hydraulique produite sur place turbine hydraulique
    • énergie thermique produite sur place
  • État de conservation
    détruit, vestiges, établissement industriel désaffecté, remanié
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • AN. Minutier Central, Etude LXVII, M 361, pièce 19. Étude de Maitre Achille-Michel Pinon.

    Acte de vente entre Louis Baptiste Lancelevée et Michel Louis Le Camus de Limare, étude de maitre Pinon notaire à Paris, 4 septembre 1781.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Arrêt du conseil d’Etat du Roi du 23 avril 1782.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Lettre de Le Camus de Limare, 12 février 1784.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Actes de constitution de la société des Fonderies de Romilly, 16 avril 1785.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Situation en 1787-90.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Lettre du Comte de la Luzerne (secrétaire d’Etat au département de la Marine) à Mistral intendant du Havre, 15 février 1788.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Contrat de rente viagère et perpétuelle en faveur du sieur Lancelevée, 8 avril 1792.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 1 M : 1 M 372. Administration générale.

    Voyage de Bonaparte, 8 brumaire an II ( 29 octobre 1793).
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Situation en 1797.
  • AD Eure. Série S ; Sous-série 18 S : 18 S 52. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Pîtres & Romilly-sur-Andelle.

    Plan de l’usine de Perpignan, an IX.
  • AN. Série F. Sous-série F 12 1222. Commerce et industrie.

    Etat nominatif des chefs et principaux ouvriers employés aux divers ateliers des Fonderies de Romilly, 17 août 1805.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Statuts de la société Les Fonderies de Romilly, 1808.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Actes constitutifs de la société Fonderies de Romilly, 1809.
  • AM. Romilly-sur-Andelle.

    Délibération conseil municipal de la commune de Romilly, 1809.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Situation en 1810.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 6 M : 6 M 1240. Statistiques industrielles et commerciales.

    Statistique industrielle, 1813.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Rapport de l’Ingénieur des Ponts et Chaussées, 1er mars 1816.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Plan de la tréfilerie et du laminoir de cuivre jaune dits établissements du Besle avec les roues existante et la roue projetée, 1816.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan du moulin à foulon dit de Hollande appartenant aux Fonderies de Romilly avec projet de nouvelle usine, laminoir, destinée à travailler le cuivre jaune, 1816.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Arrêté préfectoral, 20 février 1817.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Arrêté préfectoral, 20 février 1817.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 4348. Commerce et Industrie.

    Rapport sur les usines où l’on travaille le cuivre dans le département de l’Eure, 23 décembre 1817.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Lettre, 2 septembre 1819.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 8 M : 8 M 97. Commerce et tourisme (an IV-1940).

    Lettre au comte de Goyon, 1er juillet 1819.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan, 3 octobre 1819.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan détaillé de chaque moulin, 3 octobre 1819.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Arrêté préfectoral, 10 décembre 1819.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Ordonnance royale, 20 septembre 1820.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Ordonnance royale, 31 janvier 1821.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Pétition par MM. les propriétaires des Fonderies de Romilly, 1823.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan de la rivière entre le moulin des Deux Amants et des Ponts, 16 décembre 1833.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Mémoire ampliatif, 2 décembre 1833.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Rapport de l’Ingénieur des Ponts et Chaussées, 19 juillet 1834.
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : C - N° du plan : 248 - Lieu-dit : Perpignan
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : C - N° du plan : 249 - Lieu-dit : Perpignan
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 596 - Lieu-dit : Le moulin du Pont
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B N° du plan : 647-648 - Lieu-dit : Perpignan
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 651 - Lieu-dit : Perpignan
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 684 - Lieu-dit : Côte des deux amants
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 692 - Lieu-dit : Moulin des deux amants
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 712 - Lieu-dit : Moulin des deux amants
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 744 - Lieu-dit : Les hautes rives
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 756 - Lieu-dit : Le grand moulin
  • AD Eure. 3 PL 685. Cadastre Napoléonien, Romilly, 1834.

    Section : B - N° du plan : 761 - Lieu-dit : Le grand moulin
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Acquisition, 1835.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Ordonnance royale, 10 juillet 1835.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Arrêté préfectoral, 5 février 1835.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Pétition de MM. Roetters et Lecoulteux administrateurs des Fonderies, 14 mars 1835.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Pétition par la Compagnie des Fonderies, avril 1838.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan masse des usines de Perpignan pour la construction d’une nouvelle usine, 22 août 1836.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Rapport de l’ingénieur des Ponts et Chaussées, 22 août 1836.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan masse des usines des Ponts, 24 août 1838.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan du moulin du Besle actuellement à usage de tréfilerie, 24 août 1838.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan du moulin Bétille et de la tréfilerie appartenant aux Fonderies pour la reconstruction du barrage de retenue des eaux du moulin Bétille, 24 août 1838.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Pétition des administrateurs des Fonderies, 27 avril 1838.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Pétition par la Compagnie des Fonderies, 20 juin 1840.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan de l’usine des Deux Amants, projet de nouvelle construction, 3 novembre 1840.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan des usines appartenant à la S.A. des Fonderies de Romilly, 30 avril 1841.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Projet de règlement général des usines appartenant à la S.A. des Fonderies de Romilly présenté pour satisfaire aux instructions du sous-secrétaire d’Etat des Travaux Publics, 30 avril 1841.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Arrêté préfectoral, 24 février 1842.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Ordonnance royale, 22 janvier 1843.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Ordonnance royale, 22 janvier 1843.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 8 M : 8 M 102. Commerce et tourisme (an IV-1940).

    Exposition, 1844.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 4239. Industrie.

    Visite des établissements, 1844.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Procès-verbal de récolement de travaux exécutés aux usines des Fonderies de Romilly en vertu de l’ordonnance royale du 22 janvier 1843, 19 juin 1846.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan partiel des usines appartenant à la SA des Fonderies et moulin de la Nation appartenant à Guyant, 5 janvier 1850.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 8 M : 8 M 106. Commerce et tourisme (an IV-1940).

    Exposition universelle, 1855.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 5 M : 5 M 310. Établissements industriels, dangereux et insalubres. Appareils à vapeur.

    Arrêté préfectoral, 5 janvier 1856.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 5 M : 5 M 310. Établissements industriels, dangereux et insalubres. Appareils à vapeur.

    Plan de l’atelier d’affinage recevant les 4 chaudières, 1/2500, 1856.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Rapport de la division des Mines, 1857.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 5 M : 5 M 310. Établissements industriels, dangereux et insalubres. Appareils à vapeur.

    Arrêté Préfectoral, 18 décembre 1860.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Rapport de la division de Mines, 1865.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Lettre de M. Letrange au préfet de l’Eure, 1865.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 8 M : 8 M 106. Commerce et tourisme (an IV-1940).

    Exposition universelle de Paris, 1878.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan sommaire de la rivière avec les usines appartenant à la société des Fonderies, 1887.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan de la rivière avec les usines appartenant à la société des Fonderies, par l’ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées Bourquelot, 20 février 1888.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Rapport de l’ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées, 20 février 1888.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Note justificative des réaménagements du système hydraulique projeté, 20 décembre 1888.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Plan des usines des Fonderies à MM. Letrange et Cie et des transformations projetées, 1/2500, 26 décembre 1888.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan des usines des Fonderies à MM. Letrange et Cie et des transformations projetées, 1/2500, 26 décembre 1888.
  • AD Eure. Série S ; sous-série 19 S : 19 S 2. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle.

    Arrêté préfectoral, 7 février 1889.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Arrêté préfectoral, 7 février 1889.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Plan des usines du Perpignan appartenant aux Fonderies de Romilly appartenant à MM. Létrange et Cie, pour un projet de déplacement des ouvrages de décharge du Perpignan, 10 aout 1889.
  • AD Eure. Série S. Sous-série 18 S : 18 S 53. Cours d'eau et usines hydrauliques. Rivière de l'Andelle. Romilly-sur-Andelle.

    Arrêté préfectoral, 24 octobre 1889.
  • AD Eure. Série M ; Sous-série 5 M : 5 M 310. Établissements industriels, dangereux et insalubres. Appareils à vapeur.

    Lettre de MM. Létrange et Cie au Préfet de l’Eure, 14 novembre 1892.
  • AN. Série F. Sous-série F 14 : F 14 1308. Travaux publics. Dossier Romilly.

    Situation en 1894 -1897.

Bibliographie

  • AD Eure. Bibliothèque 492.

    Catalogue des Fonderies, imprimerie Didot en 1790.
  • MASSON DE SAINT-AMAND, Amand-Narcisse. Mémoire statistique du département de l'Eure adressé au ministre de l'Intérieur. Imprimerie Impériale, Paris, 141 p.

    p. 108-109
  • BN Paris-Richelieu-Louvois. O 600. Enquête industrielle, 1847.

    Fonderies de Romilly
  • YOUNG, Arthur. Voyages en France en 1787, 1788 et 1789. Paris : Armand Colin, 1931.

    p. 261
  • Etat des cuivres rouges, jaunes et plaques, que l’on fabrique aux Fonderies de Romilly, près de Rouen. Imp. Didot, 1790.

  • FERRY, Achille. Notice relative à la construction de la roue hydraulique de Romilly, sur la rivière de l’Andelle (Eure). Annales des Ponts-et-Chaussées, 1ere série, 1836.

    p. 186-199
  • ROETTIERS DE MONTALEAU. Notice historique sur l’établissement de fonderies de Romilly-sur-Andelle (Eure). Paris : imprimerie Le Normant, 1837, 52 p.

  • EMY, Armand-Rose. Traité de l’art de la charpenterie. Liège : Avanzo et Cie, 1841.

    p. 121, 282
  • Mosaïque de l’Ouest. Avril 1845. Tome 1.

    p. 305-306
  • PASSY, Louis. Rapport sur le progrès de l'Agriculture et de l'Industrie dans l'arrondissement des Andelys. 1862.

    p.80-81
  • TURGAN, Julien. Les Grandes usines. 1880. Tome 13.

    FONDERIE ET LAMINOIR Etablissement Letrange à Saint Denis.
  • LACOUR-GAYET. La marine militaire de la France sous le règne de Louis XVI. Paris : Champion, 1905. 719 p.

    p. 564
  • RICHARD, Guy. Les fonderies de Romilly-sur-Andelle et les débuts de la métallurgie non ferreuse en Haute-Normandie (1782-1850). In Actes du 88e Congrès national des Société Savantes, Clermont-Ferrand, 1963.

    p. 451 à 467.
  • DAUMAS, Maurice. L'archéologie industrielle en France. Paris : Robert Laffont, 1980. (Les hommes et l'histoire).

    p. 132, 134, 135
  • BELHOSTE, Jean-François, PEYRE, Philippe. L'une des premières grandes usines hydrauliques : les fonderies de cuivre de Romilly-sur-Andelle. In Actes du IVe colloque d'archéologie industrielle, Beauvais, 6-8 octobre 1982. Beauvais : Ecomusée du Beauvaisis, 1983.

    pp. 12-18.
  • LECOEUR, Eric. Les fonderies de Romilly-sur-Andelle. Université de Rouen : Mémoire de DEA, 1983.

  • LECOEUR, Eric. Moulins et usines de la vallée de l'Andelle : recherches d'histoire et d’archéologie industrielle, 1780-1880. Thèse sous la dir de Jean-Pierre Chaline. Université de Rouen, 1989.

  • MATTER, Céline. Les fonderies de Romilly sur Andelle (1781-1896). ENSA Normandie, 1989, 116 p. dact.

  • CATHERINE, Éric. Balade au fil de l'eau. À la rencontre des moulins. Filatures et fonderies de la vallée de l'Andelle. Éditions Mémoires et Cultures, 2009. 143 p.

    p. 130-135
  • BELHOSTE, Jean-François. La vallée de l’Andelle : histoire et archéologie industrielles (1780-1870). In Tisser l’histoire. L’industrie et ses patrons. Mélanges offerts à Serge Chassagne. Valenciennes : Presses universitaires de Valenciennes, 2009. 406 p.

    p. 41,43, 53, 55

Périodiques

  • VIDALENC, Jean. Quelques témoignages sur les Pays de la forêt de Lyons et de la vallée de l’Andelle dans la première moitié du 19e siècle. Etudes Normandes, n° 2, 1980.

    p. 53-62
  • BELHOSTE, Jean-François, PEYRE, Philippe. Les fonderies de Romilly. Les cahiers de l’Ecomusée du Beauvaisis, 1987.

    p. 12-28
  • LECOEUR, Eric. Les moulins de l'Andelle, aperçu d’archéologie industrielle. Etudes Normandes, n°1, 1985.

    p. 67
  • BELHOSTE, Jean-François. L'Andelle, une grande vallée textile normande. L'archéologie industrielle en France, 2008, n°53.

    p. 35-37, 39
  • BARETTE Jean, BIENVENU Michel. Les fonderies de cuivre de Romilly, la révolution industrielle dans la vallée de l’Andelle. A la recherche des temps perdus, bulletin n°6, 2014.

    p.11-17

Documents figurés

  • BN. Cab Est. Va 27, T 6. Cartes et Plans. Fonderies de cuivre de Romilly.

    Plan et coupe longitudinale d’un atelier de laminoir établi à Romilly pour le doublage en cuivre des vaisseaux du Roi, 1782-1788.
  • BN. Cab Est. Va 27, T 6. Cartes et Plans. Fonderies de cuivre de Romilly.

    Plan du grand laminoir de 7 pieds établi aux fonderies de Romilly en 1813.

Annexes

  • Détail des sources.
Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2018
(c) Région Normandie - Inventaire général
Real Emmanuelle
Real Emmanuelle

Chargée de recherches à l'Inventaire général du patrimoine culturel de Haute-Normandie, puis de Normandie, depuis 1992. Spécialité : patrimoine industriel.

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