Edifié en moellon de grès et couvert en ardoise, le logis présente une façade postérieure en bauge. La grange à grain est en moellons de grès et de schiste ; l'encadrement de ses ouvertures est en pierre de taille calcaire. Couverte en ciment amiante, elle présente une symétrie qui découle de sa fonction : sa large porte à double ventail, de hauteur bien supérieure à celles des autres dépendances, ouvrait sur l'aire à battre qui occupait le centre du bâtiment. Le stockage était rejeté sur les côtés, celui des gerbes non battues au rez-de-chaussée, celui du grain à l'étage. Ce dernier est éclairé par deux jours en plein-cintre. Une excroissance (disparue) en vis-à-vis de la porte, signalait la présence d'une aire à battre, pourvue à sa base d'une poutre, «le chaumoux». Couvert en ardoise et édifié en moellons de grès et de schiste et en bauge, le pressoir présente une façade antérieure ordonnancée à ouvertures à linteau en béton ainsi qu'un pignon ouest en béton aggloméré. En bauge et couverte en ardoise, l'étable présente de multiples reprises en béton aggloméré. La charretterie à trois travées, couverte en ardoise, est en béton aggloméré enduit au ciment. Cet enduit bénéficie d'un motif imitant la pierre. En bauge et en moellons de grès et de schiste, le toit à porcs est couvert en ciment amiante.