Moulin à farine attesté en 1405, assurant en 1809 la production de farine de blé et d'orge. Réglementé par arrêté préfectoral du 19 août 1854, révisé par arrêtés du 22 août 1856 et du 22 novembre 1863, incendié en 1887 et reconstruit par Bourdon, il est augmenté d'une scierie vers 1888 (parcelle 33, section A du cadastre napoléonien). Incendié en 1907, en partie reconstruit, il cesse de fonctionner en décembre 1982. Deux tournants attestés en 1809, pouvant produire annuellement 229 900 kg de farine de blé. Moulin doté de nouvelles machines après 1907, ne permettant que la mouture des céréales secondaires. Subsistent une roue hydraulique de type Poncelet, ainsi qu'une partie des mécanismes intérieurs de transmission.